Alors que l’ancienne résidence des infirmières était à l’origine entourée d’un jardin, aujourd’hui, des bandes d’asphalte entourent l’ancienne résidence et ses agrandissements.
L’agrandissement de la résidence des infirmières en 1931-1932 (au premier plan, à gauche) permet l’ajout de chambres, d’un gymnase, d’une bibliothèque, d’un laboratoire de diététique, ainsi que de salles de cours et de démonstration.
Une partie des élévations latérale droite et arrière du pavillon J.-A.-DeSève. Les accès arrières sont accessibles par un escalier en raison du dénivelé du site.
L’élévation latérale gauche du pavillon J.-Armand-Bombardier se distingue des autres façades par le traitement des ouvertures et l’emploi d’un revêtement en brique grise.
Élévation latérale droite du pavillon Jean XXIII. La sobriété du bâtiment et les lignes courbes rappelant les paquebots sont représentatifs du style international en architecture.
Le pavillon Lalemant présente un volume vertical de huit étages flanqué de deux ailes horizontales. La tour verticale, percée de nombreuses fenêtres, abrite notamment des résidences d’étudiants.
Par son volume imposant, le pavillon Lalemant se démarque dans le secteur. Les chambres situées aux étages supérieurs bénéficient d’une vue sur la montagne ou sur la ville.
Le pavillon Lefebvre repose en partie sur des pilotis. Ses murs-rideaux offrent une vue sur la montagne et l’oratoire à l’avant, et sur la ville à l’arrière.
Le pavillon Lefebvre est un bâtiment étroit avec une structure en béton. D’une conception architecturale minimaliste, il ne présente aucune ornementation.
L’élévation principale du pavillon Lionel-Groulx, donnant sur la rue Jean-Brillant. Ses façades se caractérisent par l’emploi de briques brunes et par leur sobriété, à l’instar des autres bâtiments du secteur.
Le fini épuré du pavillon médical (M) contraste avec le calcaire brut du pavillon Hersey et ce qui reste de l’aile ouest de l’édifice d’origine conçus par l’architecte Henry Saxon Snell (aile L).
Une nouvelle passerelle surélevée de trois étages relie le pavillon médical (M) au bâtiment administratif, remplaçant celle que Snell avait réalisée à l’époque au même endroit.
Le pavillon médical reprend les idées qui ont présidé quatre ans plutôt à la conception du pavillon chirurgical, notamment le plan en « piste de course » qui distribue les chambres des patients au pourtour d’un espace central dédié aux salles d’opération.
Élévations latérale gauche et principale du pavillon Marcelle-Coutu. Ce pavillon est prend place dans un ensemble construit comprenant le pavillon Jean-Coutu et, au centre, l’agora Morrice et Rosalind Goodman.
Agrandissement nord du pavillon (1925). Le bâtiment répond avant tout à des critères pratiques, sans lien apparent avec son emplacement près de la montagne.
Avec ses 16 étages, le pavillon McIntyre des sciences médicales et bibliothèque Osler s’intègre dans son environnement où l’on retrouve plusieurs bâtiments construits en hauteur.
Le pavillon pour les Petits Chanteurs du Mont-Royal est situé en contrebas de l’Oratoire Saint-Joseph sur un terrain gazonné où se trouvent plusieurs arbres matures. Cet environnement évoque son passé de villa.
Avec son fronton central, sa symétrie et son parement clair, la façade du collège puise dans le vocabulaire architectural classique afin d’affirmer le prestige de l’institution.
L’impressionnante façade du pavillon Ross Memorial (R), évoquant un grand hôtel des compagnies ferroviaires, vise à attirer une nouvelle clientèle de patients montréalais fortunés qui payent les frais de leur séjour à l’hôpital.
Le pavillon Ross Memorial et le pavillon des Femmes, sont reliés au reste de l’Hôpital Royal Victoria par des passerelles et des corridors souterrains. Une passerelle couverte (en bas à droite sur la photo), relie le pavillon Ross à celui du Centenaire.