Élévations avant et latérale droite du pavillon Claire-McNicoll. Le volume vitré logeant les escaliers a été ajouté en 2002 afin de faciliter les déplacements dans le bâtiment.
Le complexe sportif comporte un espace vitré offrant une vue sur le site environnant, de même qu’une cour intérieure plantée d’arbres (invisible à partir du stationnement).
Le pavillon Coutu est à la fois accessible de l’intérieur, à partir d’autres pavillons du collège, et de l’extérieur. Il partage une entrée commune avec la salle Brébeuf.
Élévations arrière et latérale droite du pavillon de la Direction des immeubles et jonction avec le Centre des technologies de fabrication en aérospatiale.
Élévation latérale gauche du pavillon de la Faculté de l’aménagement. Tout comme la façade principale, celle-ci a fait l’objet de modification au niveau des ouvertures à la suite de son acquisition par l'Université de Montréal.
Élévation arrière du pavillon de la Faculté de l’aménagement. Entre 1994 et 1997, dans la foulée de l’acquisition du bâtiment par l’Université de Montréal, une nouvelle aile est construite à l’arrière.
L’accès à la nouvelle aile du pavillon de la Faculté de l’aménagement se fait par une passerelle métallique. L’ajout de cette aile a également permis la création d’une cour intérieure, laquelle est accessible par un escalier à larges marches.
Élévation principale du pavillon de la Faculté de l’aménagement. À la suite de l’acquisition du bâtiment par l’Université, des modifications ont été apportées aux fenêtres à gauche et un élément en acier corten a été ajouté au-dessus de l'entrée.
Élévation principale de l’École de musique Vincent-d’Indy et de la salle Claude-Champagne. Le bâtiment s’insère dans un écrin de verdure sur le flanc nord du mont Royal.
Le volume en saillie de la façade principale de la salle Claude-Champagne, généreusement fenêtré, loge le foyer, alors que la forme circulaire du volume arrière répond aux besoins d’une salle de concert.
Détail de l’élévation principale du pavillon de la Faculté de musique. La croix rappelle que les propriétaires constructeurs étaient une congrégation religieuse, soit la Congrégation des Sœurs des Saints-Noms-de-Jésus-et de-Marie.
Mitoyen au pavillon des pèlerins, le carillon, inauguré en 1955, compte 56 cloches. Ces dernières étaient, à l’origine, destinées à la Tour Eiffel de Paris.
Haute de deux étages, l’élévation du pavillon des pèlerins faisant face au chemin Queen-Mary offre aux visiteurs qui profite de ses galeries une vue magnifique sur l’étendue nord de la ville.
Situé à proximité du sanctuaire, le pavillon des pèlerins offres divers services aux visiteurs dont une aire de restauration et un magasin de souvenirs et d’objets de piété.
Le pavillon Strathcona d’anatomie et de médecine dentaire à l’angle de la rue University et de l’avenue des Pins Ouest (vis-à-vis de l’Hôpital Royal Victoria).
La maternité de l’Hôpital Royal Victoria (Royal Victoria Montreal Maternity Hospital) des architectes Stevens et Lee, qui date de 1926, maintenant le pavillon des Femmes (F), termine la perspective de la rue University.
Campé sur un escarpement, le pavillon des Femmes (F), que l’on aperçoit ici en arrière-plan, surplombe le pavillon du Centenaire (C) et la buanderie (B).
L’ancienne entrée des patientes plus fortunées, située à l’arrière du bâtiment, face au mont Royal, offre encore un accès direct à travers une porte cochère.
Alors que l’ancienne résidence des infirmières était à l’origine entourée d’un jardin, aujourd’hui, des bandes d’asphalte entourent l’ancienne résidence et ses agrandissements.
L’agrandissement de la résidence des infirmières en 1931-1932 (au premier plan, à gauche) permet l’ajout de chambres, d’un gymnase, d’une bibliothèque, d’un laboratoire de diététique, ainsi que de salles de cours et de démonstration.
Une partie des élévations latérale droite et arrière du pavillon J.-A.-DeSève. Les accès arrières sont accessibles par un escalier en raison du dénivelé du site.
L’élévation latérale gauche du pavillon J.-Armand-Bombardier se distingue des autres façades par le traitement des ouvertures et l’emploi d’un revêtement en brique grise.
Élévation latérale droite du pavillon Jean XXIII. La sobriété du bâtiment et les lignes courbes rappelant les paquebots sont représentatifs du style international en architecture.
Le pavillon Lalemant présente un volume vertical de huit étages flanqué de deux ailes horizontales. La tour verticale, percée de nombreuses fenêtres, abrite notamment des résidences d’étudiants.
Par son volume imposant, le pavillon Lalemant se démarque dans le secteur. Les chambres situées aux étages supérieurs bénéficient d’une vue sur la montagne ou sur la ville.
Le pavillon Lefebvre repose en partie sur des pilotis. Ses murs-rideaux offrent une vue sur la montagne et l’oratoire à l’avant, et sur la ville à l’arrière.
Le pavillon Lefebvre est un bâtiment étroit avec une structure en béton. D’une conception architecturale minimaliste, il ne présente aucune ornementation.
L’élévation principale du pavillon Lionel-Groulx, donnant sur la rue Jean-Brillant. Ses façades se caractérisent par l’emploi de briques brunes et par leur sobriété, à l’instar des autres bâtiments du secteur.
Le fini épuré du pavillon médical (M) contraste avec le calcaire brut du pavillon Hersey et ce qui reste de l’aile ouest de l’édifice d’origine conçus par l’architecte Henry Saxon Snell (aile L).
Une nouvelle passerelle surélevée de trois étages relie le pavillon médical (M) au bâtiment administratif, remplaçant celle que Snell avait réalisée à l’époque au même endroit.
Le pavillon médical reprend les idées qui ont présidé quatre ans plutôt à la conception du pavillon chirurgical, notamment le plan en « piste de course » qui distribue les chambres des patients au pourtour d’un espace central dédié aux salles d’opération.