L'ancienne résidence des aumôniers. Le bâtiment accueille aujourd’hui un musée consacré à l’histoire des Hospitalières de Saint-Joseph et de l’Hôtel-Dieu
Ce petit oratoire, dédié à saint Joseph, a été bâti avec des pierres provenant du premier Hôtel-Dieu, qui se trouvait sur la rue Saint-Paul dans le Vieux-Montréal.
Élévations principale et latérale droite de l’Institut de recherches sur les pâtes et papiers. On remarque l’ancienne entrée principale qui donnait sur la rue Sherbrooke Ouest, aujourd’hui cachée par le pavillon Otto-Maass de chimie.
Partie centrale de l’élévation principale de la maison mère des Sœurs des Saints-Noms-de-Jésus-et-de-Marie (pavillon 1420 Mont-Royal). La croix qui surmonte le bâtiment rappelle sa vocation conventionnelle d’origine.
Élévation latérale gauche et principale du pavillon 2910, boulevard Édouard-Montpetit. On remarque l’emploi d’une toiture mansardée à deux versants pour les parties avant et arrière du bâtiment et d’une toiture plate pour la partie centrale.
Élévations principales et latérales droite du pavillon 3200 Jean-Brillant. Le bâtiment, contigu au pavillon Lionel-Groulx, se distingue de ce dernier par son volume moins élevé.
La partie arrière de l’élévation latérale gauche du pavillon 3200 Jean-Brillant donne sur la place Laurentienne, un espace partagé avec les autres pavillons du secteur des sciences sociales.
Élévation principale du pavillon 3744 Jean-Brillant. La toiture mansardée, qui évoque le style Second Empire, se veut un rappel de la toiture du collège Notre-Dame, lequel est situé à l’arrière du bâtiment.
Les tourelles du bâtiment central, vues ici devant une tour d’évacuation de l’air vicié, sont revêtues de bardeaux d’ardoise peints d’une couleur qui imite le cuivre oxydé du toit de l’aile est.
Les initiales entrelacées des deux fondateurs de l’Hôpital Royal Victoria, George Stephen et Donald Smith, sont gravées dans le calcaire, au-dessus de l’entrée principale de l’hôpital.
Élévation latérale droite du pavillon André-Aisenstadt. Un espace piéton paysager, parcouru par un escalier en raison de la dénivellation du site, a été aménagé afin de faciliter l’accès aux pavillons situés plus haut.
Le pavillon du Centenaire (C), ici vu du toit de la chaufferie (X), est un assemblage de formes géométriques qui sont inspirées de la diversité de celles qui ont constitué le complexe hospitalier au fil du temps.