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Le soleil d’Aoura. Mémoires d’immigrantes

07 décembre 2020

Un documentaire du Centre d’histoire et du Collectif des femmes immigrantes du Québec met en vedette des femmes porteuses d’un organisme fédérateur et de leur intégration à la société montréalaise.

Le soleil d'Aoura. Mémoires d'immigrantes.

Le soleil d'Aoura. Mémoires d'immigrantes.

Durée : 22 min 22 s

Un documentaire financé par le gouvernement du Canada et le Centre d’histoire de Montréal, 2019.

Réalisation : 
Antonio Pierre de Almeida

Mémoires d'immigrantes - photos des témoins

Assemblage de neuf photos de femmes, en gros plan, qui ont participé au projet Mémoires d’immigrantes.
Photo : Antonio Pierre de Almeida, Centre d’histoire de Montréal
Au début des années 1980, des Montréalaises venues d’ailleurs se mobilisent pour fonder un organisme fédérateur qui soutiendra leurs revendications visant à faciliter l’intégration des immigrantes à la société québécoise. La francisation, la reconnaissance des diplômes, la conciliation travail-famille, la lutte contre la violence envers les femmes sont autant de causes défendues par le Collectif des femmes immigrantes du Québec au fil des ans.

En 2018, 35 ans après sa fondation, le Collectif se lie au Centre d’histoire de Montréal afin de préserver et de faire rayonner les mémoires constituant son histoire. Le documentaire Le soleil d’Aoura. Mémoires d’immigrantes est le récit de la naissance et de l’épanouissement de cet organisme, raconté par ses actrices de premier plan. Parmi elles, Aoura Bizzarri, qui a inspiré le nom initial du Collectif, « Le soleil d’Aoura ». Ce film est aussi composé des histoires personnelles de femmes qui ont vécu, ou vivent, l’aventureuse marche vers l’intégration à leur société d’accueil. Le soleil d’Aoura met surtout en lumière la contribution de ces femmes à l’histoire de Montréal et du Québec.

Pour en savoir plus, découvrez les histoires d’Aoura, de Dary, de Jeanne Farida, de Darling, de Marta, de Sanaâ, de Faustina, de Laura et de Perpétue dans une série d’articles « Témoignages », qui dressent les grandes lignes de leurs parcours uniques qui s’enchâssent et contribuent à l’histoire de la ville.