En 2010, la communauté algérienne de Montréal se mobilise pour suivre la Coupe du monde alors que l’Algérie accède à la phase finale de l’événement pour la première fois depuis 1986.
Des groupes minoritaires au sein de la société égyptienne émigrent à Montréal dès les années 1950. Au fil des décennies, l’immigration égyptienne dans la métropole se complexifie.
En 2009, l’association du Petit Maghreb signe une entente avec la mairie d’arrondissement qui permet de rêver à la création d’un premier quartier maghrébin en Amérique du Nord.
Comment vivre les transformations et tensions de l’adolescence entre Révolution tranquille et traditions açoriennes? José-Louis Jacome raconte son intégration à sa nouvelle vie montréalaise.
Les premiers Açoriens ont immigré à Montréal dans les années 1950. Ils évoquent leur premier travail, les difficultés familiales ou administratives, mais aussi la naissance d’une communauté.
Les premiers immigrants açoriens sont arrivés à Montréal en 1953 et 1954. Les témoignages de ces pionniers livrent les raisons du départ, les conditions du voyage, les difficultés de l’arrivée.
Alors qu’il menait des recherches personnelles sur ses origines, José-Louis Jacome, Montréalais né aux Açores, a fait une rencontre déterminante. Sa quête a ainsi pris une nouvelle envergure.
La quête de José-Louis Jacome pour retrouver ses racines raconte bien plus qu’une histoire personnelle, elle témoigne des débuts de l’immigration des Açoriens à Montréal.
José-Louis Jacome nous entraîne dans les quartiers de la Petite Italie et de Villeray où, enfant immigrant, il a vécu ses premières expériences montréalaises.
Des traces d’occupation humaine datant de 5000 ans jusqu’à la présence des Autochtones dans l’actuelle grande région métropolitaine, voici toute une histoire à raconter.