L'encyclopédie est le site du MEM - Centre des mémoires montréalaises

Résultats de recherche

Affichage 31 à 40 de 678 résultats
Photo en noir et blanc de trois adolescents dans la cour arrière de la maison familiale.

Comment vivre les transformations et tensions de l’adolescence entre Révolution tranquille et traditions açoriennes? José-Louis Jacome raconte son intégration à sa nouvelle vie montréalaise.

Seis açorianos pousam em frente a uma casa com uma bandeira.

Les premiers Açoriens ont immigré à Montréal dans les années 1950. Ils évoquent leur premier travail, les difficultés familiales ou administratives, mais aussi la naissance d’une communauté.

Fotografia a preto e branco de quatro homens, de pé, em frente a uma árvore. Apenas um tem sapatos.

Les premiers immigrants açoriens sont arrivés à Montréal en 1953 et 1954. Les témoignages de ces pionniers livrent les raisons du départ, les conditions du voyage, les difficultés de l’arrivée.

Capture d’écran du clip montrant Joaquina et José-Louis assis et discutant

Alors qu’il menait des recherches personnelles sur ses origines, José-Louis Jacome, Montréalais né aux Açores, a fait une rencontre déterminante. Sa quête a ainsi pris une nouvelle envergure.

José-Louis Jacome en compagnie de Madalena da Costa et José Manuel Pereira

La quête de José-Louis Jacome pour retrouver ses racines raconte bien plus qu’une histoire personnelle, elle témoigne des débuts de l’immigration des Açoriens à Montréal.

Impressão de ecrã de um clipe: José-Louis mostra uma fotografia tirada de quando era criança, no local onde foi tirada 60 anos depois.

José-Louis Jacome nous entraîne dans les quartiers de la Petite Italie et de Villeray où, enfant immigrant, il a vécu ses premières expériences montréalaises.

Dessin représentant la mission amérindienne du Sault-Saint-Louis dans les années 1670.

Des traces d’occupation humaine datant de 5000 ans jusqu’à la présence des Autochtones dans l’actuelle grande région métropolitaine, voici toute une histoire à raconter. 

Photo couleur de quelques personnes manifestant. Au centre, une femme tient un micro et un homme à ses côté tient un porte-voix. Une personne âgée pleure à l’avant-plan.

Construite après les expulsions des années 1970, la tour résidentielle surnommée « la Plaza chinoise » témoigne des luttes pour le logement qui ont animé le Quartier chinois au début du XXe siècle.

Photo couleur de l’intérieur d’un casse-croûte avec le comptoir et les banquettes orange.

De 1946 à 2000, le restaurant Ho Ho a été un lieu renommé pour les immigrants chinois, qui pouvaient y célébrer leur culture et y tisser des liens avec les membres de la communauté.

Photo couleur montrant une dizaine de personnes d’origine chinoise dans une grande salle, certaines sont debout, de dos, devant une table, d’autres assises derrière la table.

Depuis plus d’un siècle, les associations familiales jouent un rôle de gardiennes dans la communauté chinoise. L’Association Hum est l’une des plus anciennes de ce genre à Montréal.