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Photographie en noir et blanc d’une synagogue. Au centre de la façade se trouvent trois fenêtres circulaires à l’intérieur desquelles est visible une étoile de David. Un groupe de personnes se tient sur le parvis du bâtiment.

Seuls des documents témoignent encore de l’existence de la synagogue autrichienne et hongroise qui a abrité la congrégation Shaare Tefilah au début du XXe siècle dans le quartier Milton Parc.

Trois femmes, habillées d’un manteau noir et d’un chapeau, se tiennent devant l’entrée d’une maison. Celle qui est à gauche tient un document et celle du milieu une valise.

Considérées comme des missionnaires urbaines, les Associées offrent leur vie à Dieu en prenant soin des femmes. Cet apostolat laïque requiert bien des qualités, dont énergie et désintéressement.

Photo noir et blanc en plan taille d’un homme noir portant des lunettes fumées.

Natif d’Haïti, Georges Bonhomme œuvre pour la Ville de Montréal dès les années 1960. Il y mène une brillante carrière et laisse sa marque en matière de logement et d’urbanisme.

Photo couleur en plan taille d’une femme noire souriante.

La quête d’équité a été un moteur de la carrière de Viviane Ducheine au sein de la Ville de Montréal. L’efficace promotion de l’interculturalisme par cette dirigeante originaire d’Haïti le prouve.

Photo couleur en plan taille d’un homme souriant portant des lunettes.

Afrodescendant montréalais, David Shelton a eu une brillante carrière comme pompier-chef aux opérations. Ce battant animé par un vif sens de l’entraide a lutté pour l’inclusion sur plusieurs fronts.

Édouard Anglade, premier policier noir du Service de police de la Ville de Montréal, et une collègue.

Devenu le premier policier noir de l’histoire du Québec en 1974, Édouard Anglade a été un leader communautaire à Montréal. Il est un modèle de réussite pour les jeunes Montréalais afrodescendants.

Un homme d’Église est entouré de deux femmes, une habillée d’un costume et l’autre avec fourrure. Les trois ont un sourire, mais la femme de droite sourit plus amplement en regardant les deux autres.

Depuis neuf décennies, Le Chaînon vient en aide aux femmes les plus démunies. Fondé par Yvonne Maisonneuve, cet organisme montréalais s’appuie toujours sur des principes généreux et humanistes.

Une femme debout tient une porte ouverte pour une femme et un enfant que l’on voit de dos. Sur la gauche, une plaque où est écrit : « Maison d’Accueil ».

Au cours des décennies, dans un environnement sécuritaire et chaleureux, les diverses Maisons d’accueil du Chaînon ont offert des services adaptés à des fillettes et à des femmes de tous âges.

Une fillette assise dans un escalier, tête penchée vers l’avant, coudes sur les genoux et mains devant les yeux. Devant elle, une femme est assise plus bas, regard tourné vers l’enfant et main posée sur les genoux de la fillette.

De 1947 à 1967, l’Institut Notre-Dame-de-la-Protection, ancêtre du Chaînon, a servi de foyer à de nombreuses fillettes et jeunes filles. Les Associées prenaient alors le rôle de maman.