Alors qu’il menait des recherches personnelles sur ses origines, José-Louis Jacome, Montréalais né aux Açores, a fait une rencontre déterminante. Sa quête a ainsi pris une nouvelle envergure.
La quête de José-Louis Jacome pour retrouver ses racines raconte bien plus qu’une histoire personnelle, elle témoigne des débuts de l’immigration des Açoriens à Montréal.
José-Louis Jacome nous entraîne dans les quartiers de la Petite Italie et de Villeray où, enfant immigrant, il a vécu ses premières expériences montréalaises.
Des traces d’occupation humaine datant de 5000 ans jusqu’à la présence des Autochtones dans l’actuelle grande région métropolitaine, voici toute une histoire à raconter.
Construite après les expulsions des années 1970, la tour résidentielle surnommée « la Plaza chinoise » témoigne des luttes pour le logement qui ont animé le Quartier chinois au début du XXe siècle.
De 1946 à 2000, le restaurant Ho Ho a été un lieu renommé pour les immigrants chinois, qui pouvaient y célébrer leur culture et y tisser des liens avec les membres de la communauté.
Depuis plus d’un siècle, les associations familiales jouent un rôle de gardiennes dans la communauté chinoise. L’Association Hum est l’une des plus anciennes de ce genre à Montréal.
Fondé en 1948, Aliments Wong Wing est le plus grand fabricant de mets chinois en Amérique du Nord. Sa prospère histoire a toutefois été durement marquée par les expropriations des années 1970.
Espace de partage culturel et lieu de rencontres intergénérationnelles, le Centre communautaire catholique chinois est un symbole de stabilité au sein du Quartier chinois.
Au milieu du XXe siècle, Le Chaînon a œuvré pour prévenir la déchéance des jeunes filles. Il a notamment accueilli, dans les gares et le port de Montréal, les nouvelles citadines démunies.