Dès sa construction en 1928, le cinéma Empress Theatre se distingue par son style inspiré de l’Égypte ancienne. Malgré les outrages du temps et son abandon, il se démarque toujours.
Depuis plus de 100 ans, le secteur du Stade olympique est affecté aux loisirs et aux activités sportives les plus variés. Plusieurs projets ambitieux ont été lancés pour mettre en valeur le site.
Photographies anciennes et souvenirs familiaux nous emmènent à Lachine au courant du XXe siècle. La vie de certains habitants y était rythmée par le fleuve, mais aussi par le sens des affaires.
Dans le cadre d’un projet sur les liens familiaux et la place des aïeuls au sein de la communauté portugaise de Montréal, des grands-parents témoignent de ce qui les unit à leurs petits-enfants. Ici, le témoignage d’Odete Claudio.
Dans le cadre d’un projet sur les liens familiaux et la place des aïeuls au sein de la communauté portugaise de Montréal, des grands-parents témoignent de ce qui les unit à leurs petits-enfants. Ici, le témoignage de Manuela Marujo.
Dans le cadre d’un projet sur les liens familiaux et la place des aïeuls au sein de la communauté portugaise de Montréal, des petits-enfants racontent ce qui les unit à leurs grands-parents. Ici, le témoignage de Tania Carreira.
Dans le cadre d’un projet sur les liens familiaux et la place des aïeuls au sein de la communauté portugaise de Montréal, quatre petits-enfants témoignent de ce qui les unit à leurs grands-parents.
En 2017, l’exposition du Centre d’histoire Fil de tendresse, fio de ternura dévoile la relation entre grands-parents et petits-enfants luso-montréalais. Les aînés témoignent ici de ces liens.
En 2017, l’exposition du Centre d’histoire Fil de tendresse, fio de ternura dévoile la relation entre grands-parents et petits-enfants luso-montréalais. Les plus jeunes témoignent ici de ces liens.
Dans le cadre d’un projet sur les liens familiaux et la place des aïeuls au sein de la communauté portugaise de Montréal, des grands-parents témoignent de ce qui les unit à leurs petits-enfants. Ici, le témoignage de Manuel Vasco.