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Dans un bar, un chanteur et guitariste joue pour des personnes attablées.

De 1940 à 1960, sortir à Montréal n’est pas banal, car toutes les grandes stars européennes et américaines s’y produisent, et les autorités sont peu regardantes quant aux mœurs et au couvre-feu.

Cinq jeunes hommes sont assis dans un bar autour d’une petite table remplie de bouteilles et de verres.

Au milieu du XXe siècle, dans une relative discrétion, gais et lesbiennes fréquentent des établissements nocturnes où ils peuvent un peu plus ouvertement se rencontrer, se divertir et s’affirmer, prélude à la revendication de leurs droi

Intérieur d’une maison de paris : deux hommes sont derrière un comptoir, un debout et l’autre assis au téléphone, et trois hommes sont devant, deux debout et un assis avec un journal ouvert devant son visage.

Vers 1950, Montréal est la troisième ville en importance pour le jeu et les paris en Amérique du Nord. Quels facteurs ont favorisé cette expansion? Par quels moyens l’a-t-on stoppée?

Un homme est assis. Il porte un manteau de drap et un chapeau de feutre, et a un verre à la main.

Journaliste, chroniqueur, écrivain, spécialiste de la scène nocturne, Al Palmer a participé à la légende de Montréal, la ville dont il était amoureux.

Une femme blonde se tient debout, de profil, les bras relevés derrière la tête et une jambe repliée. Elle porte un costume de scène deux pièces avec un long voile à l’arrière, allant de la taille jusqu’aux pieds.

Dans les années 1940, l’Américaine Lili St-Cyr, véritable légende du striptease, considère Montréal comme sa « vraie patrie ».

Photographie en noir et blanc d’un groupe de femmes en costume de scène qui dansent. Il y a une vue sur la salle.

Pendant quelques décennies, cabarets, bars, clubs et cafés font partie du paysage montréalais. Locaux et touristes y assistent aux spectacles les plus variés, tandis que l’alcool coule à flots.

Pochette de carton dont la couverture est ornée d’un homme en habits arabes. À l’intérieur, une photo en noir et blanc montre un groupe de personnes assises autour d’une table.

Au milieu du XXe siècle, Montréal a déjà établi sa réputation de ville gastronomique. À toute heure, elle peut satisfaire tous les palais et tous les portefeuilles.

Intérieur de cabaret avec spectacle sur la scène, couples attablés et serveurs.

Après son apogée des années 1940 et 1950, le Montréal festif a progressivement décliné, pour diverses raisons. L’esprit du divertissement est cependant toujours fortement ancré dans la ville.

Une vue en noir et blanc de l’intérieur d’un bar. En haut à gauche, un portrait de Rufus Rockhead.

Dans les années 1930 et 1940, le Rockhead’s Paradise a connu une popularité folle. Son fondateur, Rufus Rockhead, a été le premier propriétaire noir d’un club à Montréal.

Les animateurs Jacques Normand et Roland Bayeur discutent avec le pianiste accompagnateur Billie Munroe dans un studio d'enregistrement de la station radio CKVL à Montréal.

Possédant des talents d’animateur, comédien et chanteur, Jacques Normand a été la vedette de plusieurs cabarets montréalais. Il a aussi connu le succès à la radio et à la télévision.