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Portrait buste de Georges Gauvreau sur la page d’une revue, avec l'inscription « M. Georges Gauvreau »

Meilleur directeur de théâtre canadien-français du début du XXe siècle, Georges Gauvreau se consacra à cette œuvre culturelle et au développement du cinéma au Québec.

Diverses images des scènes, des salles et des artistes du théâtre des Nouveautés (sur la page de gauche) et du théâtre national (sur la page de droite).

L’inauguration du Théâtre National a une valeur symbolique considérable : dans ce lieu de rassemblement, la collectivité canadienne-française pourrait trouver le reflet de son identité.

Scène du drame biblique La Passion de Philippe Casimir et Comer présenté sur la scène du Monument National en 1902.

L’histoire des « lieux d’amusement » montréalais illustre l’instauration d’une industrie du spectacle particulièrement dynamique et changeante, à l’image d’un public curieux et sensible aux audaces.

Cyclistes sous la pluie lors du premier Tour de l’Île

Chaque année, depuis 1985, des milliers de cyclistes célèbrent la grande fête du vélo en participant au Tour de l’Île. Durant quelques heures, la voiture cède alors la place à la bicyclette.

Groupe de femmes se tenant devant le chantier de construction de la Place des Arts.

Fondé au XIXe siècle par huit musiciennes, ce club anglophone était réservé aux femmes. Toujours actif, il attire aujourd’hui les amateurs de musique classique sans distinction de langue ou de sexe.

Photo de groupes de la LNI dans les années 1980.

Avec ses règlements inspirés de ceux du hockey, la LNI a connu un succès fulgurant au Québec. Ce type d’improvisation créé à Montréal en 1977 est maintenant pratiqué dans une trentaine de pays.

Robert Gravel, le bras levé, arborant le chandail de la LNI.

Disparu trop tôt, Robert Gravel, comédien hors du commun, a contribué à l’évolution de la pratique théâtrale au Québec et a cocréé la Ligue Nationale d’Improvisation.

Vue à vol d'oiseau des terrains de l'exposition provinciale à Montréal en 1881.

Au XIXe siècle, Montréal est une des principales villes d’expositions du Canada. Pourtant, après 1891 débute une série de tentatives infructueuses pour organiser à nouveau de tels événements.

Une du journal La Presse annonçant que c’est Moscou qui obtient l’Expo.

En 1958, à l’Exposition de Bruxelles, le sénateur Mark Drouin fait une annonce qui conduira à la candidature de Montréal pour l’Exposition universelle de 1967. Un très long processus est enclenché.

Robert Shaw à son bureau de la Cité du Havre

La lourde organisation d’une exposition universelle est sous la responsabilité d’un commissaire général et de son adjoint. Or, la désignation des têtes dirigeantes d’Expo 67 fut une véritable saga.