Le pavillon Roger-Gaudry domine le campus de l’Université de Montréal, ainsi que le secteur de la ville où il se trouve, faisant de l’institution un important point de repère.
À l’ouest, une entrée a été aménagée au niveau du septième étage du bâtiment permettant l’accès au complexe hospitalier depuis le stationnement du pavillon Ross Memorial ( R ).
Les édifices ajoutés durant l’après-guerre possèdent des façades qui se caractérisent notamment par un motif de fenêtres répétitif et un fini lisse du calcaire.
D’étroits espaces résiduels sont aujourd’hui situés derrière le bâtiment administratif. Ils son le résultat des nombreux ajouts depuis l’ouverture de l’hôpital.
Une partie de l’élévation latérale droite du pavillon Samuel-Bronfman. L’emploi de la brique brune favorise l’intégration du bâtiment aux autres se trouvant autour de la place Laurentienne.
Élévation latérale droite du pavillon Samuel-Bronfman. Un espace a été laissé libre de construction au sol, afin de permettre la circulation automobile entre la partie ouest du campus et son centre, par le chemin de la Tour.
Détail d’une élévation du pavillon Thérèse-Casgrain. Les éléments en béton courbe servent de pare-soleil et donnent au bâtiment divers aspects selon le point de vue du visiteur.
Malgré ses fonctions techniques, l’architecture de la chaufferie datant de 1900 évoque les élégants hôtels particuliers, les châteaux écossais et l’Université McGill, à proximité.
Aujourd’hui, les camions, les rambardes métalliques et les tuyaux d’échappement occupent la périphérie de la chaufferie conçue par l’architecte Andrew Taylor et cachent largement la façade latérale de composition remarquable de ce bâtiment technique.
L’aile de 1952-1953 de Barott, Marshall, Montgomery & Merrett, conçue suivant une forme en « T » en plan, se trouve derrière l’édifice de 1863; elle est reliée à l’aile de 1986, située immédiatement au nord.
La deuxième annexe, ouverte en 1986, offre des soins en santé mentale au rez-de-chaussée et compte des lits pour des patients en séjours de courte durée au deuxième étage.
Entre les deux kiosques, se trouve le portique qui donne sur l’axe cérémoniel. Dans cet axe se trouve un moment dédié à saint Joseph, réalisé par le sculpteur Alfred Laliberté.
Les deux kiosques d’entrée et le portail métallique accueillant, en bordure du chemin Queen-Mary, les visiteurs et les pèlerins arrivant à pied à l’Oratoire.
L’édifice du généralat bénéficie d’une grande visibilité créée par la présence du parc Jeanne-Mance à l’ouest et par son positionnement en bordure de l’avenue des Pins.
Les façades quelque peu austères du bâtiment rappellent la fonction officielle et administrative des lieux, tandis que l’ordonnance régulière des nombreuses fenêtres est en lien avec l’usage résidentiel d’une partie de l’édifice.
Élévation latérale droite du pavillon Résidence A annexe. On remarque la passerelle construite au même moment que l’édifice afin de le relier à la Résidence A.
Profitant de l’emplacement du pavillon Résidence A annexe sur un site avec une importante dénivellation, un stationnement a été aménagé sous une partie du bâtiment, lequel est soutenu par des piliers en forme de « Y ».
Les immeubles du 2789-2797, avenue Willowdale, sont à proximité de propriétés institutionnelles, soit l’ancienne maison mère des Sœurs Missionnaires de l’Immaculée-Conception et le pavillon principal de l’Université de Montréal.
La façade principale du 2795-2797, avenue Willowdale, présente une composition symétrique avec son corps central en saillie au pignon à demi-croupe et ses ouvertures horizontales superposées.
Élévation principale de la maison Marcel-Taillefer. Située en contrebas de l’Oratoire Saint-Joseph, elle prend place sur un terrain gazonné où se trouvent des arbres matures.
Élévation latérale gauche de la maison Marcel-Taillefer. Pour répondre aux besoins de l’Oratoire, un stationnement a été aménagé à l’arrière du bâtiment.
Le bâtiment Rockliffe est situé dans une dépression entre les sommets de Westmount et du Mont-Royal. Il est composé d’immeubles à appartements homogènes en matière de densité, d’implantation, de gabarit et de matériau de revêtement.
Façade principale symétrique du Rockliffe, avec son ressaut central qui délimite l’entrée et ses extrémités de forme polygonale qui encadrent la composition.
Le bâtiment est délimité à l’ouest par des cours de récréation. Les fenêtres cintrées, distribuées de manière régulière sur les façades latérales, rappellent la fonction religieuse d’origine du bâtiment.
Élévation de l’aile de la Faculté et École de musique Schulich et salle Pollack qui se trouve entre le bâtiment principale et le bâtiment construit en 2003-2005.