À deux reprises, à 157 ans d’intervalle, le site Dawson, situé au centre-ville de Montréal, a révélé des vestiges du seul village des Iroquoiens du Saint-Laurent retrouvé sur l’île.
La courte vie de la mission autochtone de la Nouvelle-Lorette ou quand les autorités coloniales manigancent afin de créer la paroisse du Sault-au-Récollet.
En 1535, l’explorateur français Jacques Cartier visite Hochelaga, sur l’île de Montréal. Il note quelques observations qui permettent d’imaginer ce village iroquoien et ses habitants.
Imaginez un décor forestier, des murs de pierre, vieux de plus de trois siècles, en ruine... Difficile à croire, mais une telle scène existe bel et bien à l’abri des regards sur l’île de Montréal!
Deux belles tours rondes sur la rue Sherbrooke Ouest sont les derniers vestiges d’une grosse mission amérindienne située sur le versant sud du mont Royal à la fin du XVIIe siècle.
Témoins des premiers établissements français, les alentours de la maison d’Étienne Nivard de Saint-Dizier ont révélé un des principaux sites archéologiques amérindiens de l’île de Montréal.
Articulé autour d’une statue, un espace public du Quartier Concordia souligne l’importance du travail de Norman Bethune comme chirurgien de l’armée de Mao durant la guerre sino-japonaise.
De 1904 à 1929, le dernier étage d’un bâtiment de la rue Notre-Dame devient le point de ralliement d’une foule de peintres, musiciens, écrivains et intellectuels avides d’un renouveau culturel.
De 1897 à 1985, la clientèle du Maples a pu profiter du lac Saint-Louis, mais aussi des équipements de l’hôtel : une plage, un quai, un terrain de tennis, le premier mini-golf du Canada…
Avocat, militaire, politicien et surtout leader les rébellions de 1837 et 1838, Louis-Joseph Papineau a marqué l’histoire du Canada. À Montréal, sa maison témoigne d’une époque et d’un personnage.