Le parc Saint-Paul, tout comme la fontaine qui l’embellit, rappelle l’ambition de certains citoyens de Côte-Saint-Paul, mais aussi leur générosité envers leur quartier.
L’histoire du Mile End au XXe siècle est étroitement associée à celle de la communauté juive. Deux institutions, aux visées contrastées, y ont profondément laissé leur marque.
Tanneries et carrières ont fortement marqué l’histoire du Mile End, car elles ont conduit à l’édification d’un premier village, puis à la création de la municipalité de la Côte-Saint-Louis.
Véritable pastiche des châteaux de la Loire, l’édifice n’a abrité les élus de Saint-Louis que quatre ans, les coûts de sa construction ayant précipité l’annexion de la municipalité à Montréal.
De 1877 à 1970, le bâtiment de la gare du Mile End était le point focal d’un secteur s’articulant autour de la voie ferrée du Canadien Pacifique.
Malgré une histoire parsemée de conflits et de menaces de destruction, le cinéma Rialto est aujourd’hui un des édifices patrimoniaux phares du Mile End.
La maison Keegan aurait été construite dans les premières décennies du XIXe siècle, alors que le quartier Griffintown était en plein essor.
La courte vie de la mission autochtone de la Nouvelle-Lorette ou quand les autorités coloniales manigancent afin de créer la paroisse du Sault-au-Récollet.
En 1535, l’explorateur français Jacques Cartier visite Hochelaga, sur l’île de Montréal. Il note quelques observations qui permettent d’imaginer ce village iroquoien et ses habitants.
Articulé autour d’une statue, un espace public du Quartier Concordia souligne l’importance du travail de Norman Bethune comme chirurgien de l’armée de Mao durant la guerre sino-japonaise.