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Le voltigeur et joueur de premier but étoile des Expos Ron Fairly au bâton lors d’une partie contre les Cardinals de Saint-Louis le 8 avril 1970.

L’histoire d’amour entre les Montréalais et le baseball a débuté au XIXe siècle. Depuis, elle a toujours été passionnée, houleuse et pleine de rebondissements.

Intérieur de la salle vue vers la scène du Cinéma Impérial (rue Bleury).

Au début du XXe siècle, les Montréalais raffolent des « vues animées », malgré les réprimandes du clergé. Cet engouement pour le cinéma ne sera pas étouffé et persistera.

Un orchestre joue à l’extérieur, devant un édifice de pierre, et une foule assise écoute.

Depuis 1924, l’œuvre de la fondation Campbell est un bel exemple de la démocratisation de la musique à Montréal, et de l’influence de la tradition protestante sur ce mouvement.

M. Lavigne et son orchestre au parc Sohmer en 1890.

À la fin du XIXe siècle, les divertissements se démocratisent. À un point tel que les manifestations populaires et culturelles font maintenant partie intégrante du paysage estival de Montréal.

Le Montreal Snowshoe Club dans le parc du Mont-Royal la nuit en 1873.

À partir des années 1880, de nombreux clubs sportifs et les premiers Carnavals d’hiver offrent de nouveaux divertissements à l’élite bourgeoise montréalaise. Mais ces plaisirs lui sont réservés.

Ordonnance concernant l’esclavage au Canada, 13 avril 1709

Oui, certains Montréalais ont réellement possédé des esclaves. On estime à 4000 le nombre de Noirs et d’Autochtones réduits en esclavage en Nouvelle-France puis dans la colonie britannique.

Enfant marchant dans les décombres de maisons dans le Red Light.

Entre les années 1950 et 1970, plus de 25 000 Montréalais sont expropriés et doivent ainsi quitter leur logement et leur milieu de vie. D’anciens résidants et d’anciennes résidantes racontent.

Un homme est assis à l’intérieur du salon de coiffure Barbier A. Plouffe et regarde à l’extérieur par la grande fenêtre.

Entre les rues Dorchester, Papineau, Craig et Wolfe, il ne reste plus un seul des 262 bâtiments du Faubourg à m’lasse en cette fin d’année 1963. Près de 5000 personnes ont perdu leur milieu de vie.

Vue sur les magasins de la rue Sainte-Catherine de jour, avec de nombreux passants et la circulation dans la rue.

Au XIXe siècle, à la faveur de la révolution industrielle et de l’urbanisation, certains commerces de nouveautés se transforment. De simples boutiques, ils deviennent les fameux grands magasins.

Une mère et son fils se tirent la langue joyeusement

Le documentaire Raconte-moi… Haïti et Montréal dévoile le parcours d’intégration montréalais de trois familles d’origine haïtienne à la suite du séisme survenu en Haïti en 2010.