Emportant cinq médailles, dont trois d’or, et obtenant la note parfaite de 10, la jeune gymnaste roumaine Nadia Comaneci a été l’incontestable héroïne des Jeux olympiques de Montréal de 1976.
Fougueux hockeyeur, Maurice Richard intimidait les gardiens adverses de son regard de feu. Le mythique joueur du Canadien de Montréal, détenteur de nombreux records, garde toujours une place à part.
Pour la saison de 1946, Jackie Robinson se joint aux Royaux de Montréal. Le baseball majeur est sous le choc : pour la première fois un joueur noir a l’opportunité d’accéder aux grandes ligues.
Figure de la culture gaie montréalaise, Alan B. Stone est un photographe passionné qui a construit une œuvre inspirée autant par les paysages urbains que les culturistes ou les sites naturels.
En 1996, après plus de 70 ans de services, le Forum cesse de vibrer au rythme des matchs de hockey. Ayant marqué l’histoire sportive du Canada, il est reconnu comme lieu historique national en 1997.
Véritable cité dans la ville, le Village olympique a vibré au rythme des Jeux de 1976. Ses pyramides à l’architecture audacieuse sont un souvenir précieux de cet événement marquant.
Pour les Jeux de 1976, Montréal a vu grand : au Parc olympique s’ajoutent le village des athlètes et plusieurs autres sites. Mais le symbole fort de cet événement mondial reste le Stade olympique.
La pratique des différentes disciplines olympiques nécessite des lieux spécifiques. En 1976, les compétitions se sont déroulées surtout à Montréal, mais aussi ailleurs au Québec et même en Ontario.
La plupart des Montréalais qui se souviennent du stade De Lorimier ont en tête les matchs de baseball des Royaux, mais ce lieu a accueilli de nombreux évènements, comme un étonnant rodéo en 1946.
Quelques chiffres et statistiques nous rappellent des éléments marquants des Jeux olympiques de Montréal et révèlent des réalités méconnues.