Au tournant des XIXe et XXe siècles, Herbert B. Ames fait partie des quelques industriels qui luttent pour améliorer les conditions de vie de la classe ouvrière et amender ainsi toute la société.
Emportant cinq médailles, dont trois d’or, et obtenant la note parfaite de 10, la jeune gymnaste roumaine Nadia Comaneci a été l’incontestable héroïne des Jeux olympiques de Montréal de 1976.
Canadien français le plus prospère de l’ère victorienne, l’audacieux Forget fusionna des entreprises, participa à de nombreux conseils d’administration et assura son rôle politique de sénateur.
Né au Haut-Canada en 1798, Allan Napier MacNab est considéré à juste titre comme un tory pur et dur. Il mène une carrière politique houleuse, ponctuée de discours enflammés et d’échanges musclés.
À sa mort, en 1836, John Molson compte parmi les plus importants hommes d’affaires de Montréal. Grand brasseur, il a notamment créé, avec ses trois fils, une entreprise familiale qui perdurera.
En 1833, 42 Montréalais élisent, indirectement, le premier maire de la ville, Jacques Viger. C’est la naissance de la politique municipale et l’entrée d’un homme dans l’histoire de Montréal.
Tout près de l’édifice Allan, au 333, rue de la Commune Ouest, un John Young de bronze veille sur ce secteur où les navires mouillaient autrefois par dizaines. Un honneur bien mérité.
Depuis la constitution en municipalité de la Ville de Montréal en 1832, les élus municipaux rêvaient d’un édifice prestigieux pour remplir la fonction d’hôtel de ville. C’est chose faite en 1872.
En 1904, à l’ouverture des usines Angus dans le futur Rosemont, 3000 ouvriers entrent au travail. Leur logement intéresse les investisseurs, notamment le promoteur immobilier Ucal-Henri Dandurand.