Petites-Mains, entreprise montréalaise d’insertion sociale, vient en aide aux femmes immigrantes en risque d’exclusion sociale. Son succès prouve l’efficacité de sa méthode.
Au début du XXe siècle au Québec, Christine Cadet, tisserande à la filature Hudon, devient à 21 ans la première femme vice-présidente d’un syndicat du textile
Souvent séparées de leurs proches et de leurs enfants, des milliers de femmes philippines travaillent chaque année comme aides familiales à Montréal afin de soutenir financièrement leur famille.
Souvent oubliées des récits d’immigration et d’intégration, les femmes grecques contribuent depuis leur arrivée à Montréal au développement de leur communauté et de leur famille.
Un documentaire du Centre d’histoire et du Collectif des femmes immigrantes du Québec met en vedette des femmes porteuses d’un organisme fédérateur et de leur intégration à la société montréalaise.
De multiples raisons peuvent mener à la décision d’immigrer. Certaines, comme la guerre et la peur, sont plus tragiques que d’autres.
Lorsqu’elle arrive à Montréal, au début des années 1970, Aoura ne parle que l’italien, est tricoteuse de formation et ne connaît personne. Vingt ans après, elle est décorée chevalière du Québec.
Il y a de ces récits que l’on écoute dans un silence de respect et de recueillement tant l’expérience et le courage de la témoin sont difficilement concevables.
Comme pour beaucoup de jeunes immigrants, c’est l’esprit d’aventure qui mène Laura à Montréal. Cette folie de jeunesse a toutefois pris une forme inattendue, une réelle mission sociale.
Une bonne préparation à l’intégration à la société québécoise, une insertion rapide au marché du travail et un progrès constant, voilà ce qui caractérise le parcours de Darling Étienne Métayer.