L’Exposition a été l’occasion de multiples découvertes gastronomiques pour les visiteurs. Du côté des organisateurs, combler l’incroyable demande concernant l’alimentation fut un vrai casse-tête.
Avec un bilan de 37 victimes et des dizaines de blessés, l’incendie criminel qui a ravagé le bar le Blue Bird, une institution en 1972, est l’une des pires tragédies survenues à Montréal.
L’histoire de cette pétillante cabaretière ouvre une fenêtre sur la vie montréalaise à la fin du XVIIe siècle.
Le secteur qui deviendra le quartier montréalais du Mile End porte ce nom depuis la première moitié du XIXe siècle. Les habitants l’ont baptisé ainsi pour trois raisons.
De 1940 à 1960, sortir à Montréal n’est pas banal, car toutes les grandes stars européennes et américaines s’y produisent, et les autorités sont peu regardantes quant aux mœurs et au couvre-feu.
Maître du monde du jeu et des paris illégaux, riche homme d’affaires, Harry Ship bénéficiait impunément du système de protection policière qui sévissait à Montréal dans les années 1940.
Journaliste, chroniqueur, écrivain, spécialiste de la scène nocturne, Al Palmer a participé à la légende de Montréal, la ville dont il était amoureux.
Pendant quelques décennies, cabarets, bars, clubs et cafés font partie du paysage montréalais. Locaux et touristes y assistent aux spectacles les plus variés, tandis que l’alcool coule à flots.
Au milieu du XXe siècle, Montréal a déjà établi sa réputation de ville gastronomique. À toute heure, elle peut satisfaire tous les palais et tous les portefeuilles.
Au courant des années 1950, le style « pop-polynésien » gagne Montréal. Dans un décor inspiré du Pacifique, le restaurant Kon Tiki offre l’illusion de l’exotisme à ses clients.