Réputé pour son service exemplaire, sa fine cuisine et ses cocktails chics, le Ruby Foo’s était fréquenté par les célébrités et les quidams en quête de faste.
Avant l’essor de la musique préenregistrée, les stations de radio montréalaises s’invitent aux grands concerts et soirées dansantes de la métropole pour diffuser du contenu en direct.
Dans les années 1930 naît le renommé restaurant Au lutin qui bouffe. Pendant plus de trois décennies, la qualité de sa cuisine et sa grande originalité en font un lieu phare des nuits montréalaises.
Ce napperon d’un restaurant très populaire de la rue Sainte-Catherine Ouest a été donné par une famille ontarienne qui ne manquait jamais d’aller manger dans cet établissement lors de ses visites annuelles à Montréal.
Plus de 15 000 Vietnamiens s’installent à Montréal à la fin des années 1970. Ils ont fui un régime communiste autoritaire, souvent au péril de leur vie.
La famille Di Lallo a rendu bien des services à Ville-Émard, son quartier d’adoption. Ces immigrants italiens y ont créé, entre autres, un fameux restaurant et une équipe de hockey de renom.
Créée dans les années 1980, dans un quartier alors peu multiethnique, l’épicerie-restaurant Méli-Mélo a contribué à changer l’image de la communauté haïtienne aux yeux de nombreux Montréalais.
Proposant des aliments aux accents latino-américains, l’épicerie Los Andes, rebaptisée Sabor Latino, se trouve au cœur d’un secteur de Montréal surnommé la Petite Amérique latine.
De 1897 à 1985, la clientèle du Maples a pu profiter du lac Saint-Louis, mais aussi des équipements de l’hôtel : une plage, un quai, un terrain de tennis, le premier mini-golf du Canada…
Bien plus qu’un tavernier haut en couleur, Charles McKiernan fut une figure des luttes sociales à Montréal. Poète et philanthrope, il a notamment soutenu les grévistes du canal de Lachine en 1877.