C’est à Montréal que Charles-Jules Des Baillets démontre sa compétence d’ingénieur en électricité toujours à l’affût des technologies de pointe et ses talents d’architecte aux goûts éclectiques.
Immigrant de Syrie au début du XXe siècle, Georges Farah-Lajoie entre dans la police montréalaise en 1906. Il devient graduellement un véritable personnage et, pour certains, un héros.
La présence affirmée de Haïtiens dans le paysage montréalais, culturel ou politique, est le signe d’une communauté nombreuse et dynamique, implantée dans la métropole depuis plusieurs décennies.
Bien plus qu’un tavernier haut en couleur, Charles McKiernan fut une figure des luttes sociales à Montréal. Poète et philanthrope, il a notamment soutenu les grévistes du canal de Lachine en 1877.
Élu en 1846, John Easton Mills ne s’illustra guère durant sa courte carrière de maire de Montréal, jusqu’au jour où il perdit la vie dans des circonstances héroïques.
À sa mort, en 1836, John Molson compte parmi les plus importants hommes d’affaires de Montréal. Grand brasseur, il a notamment créé, avec ses trois fils, une entreprise familiale qui perdurera.
Venus d’Écosse, les frères Morgan créent une maison spécialisée dans le commerce en gros. Quatre générations se sont succédé à la tête de cette entreprise familiale devenue typiquement montréalaise.
En 1953, le premier contingent d’immigrants portugais arrive au Canada. Ils sont suivis par d’autres, venant du continent, des Açores et de Madère. Plusieurs deviennent Montréalais.
Quelques milliers de personnes venues de la Syrie « historique » sont entrées au Canada avant 1940. Grâce notamment au travail, ces immigrants ont créé des liens sociaux au-delà de leur communauté.
Un géant, gros mangeur, fumeur invétéré et joueur de cartes imbattable. Tel était décrit Van Horne, qui conduisit la fabuleuse expansion vers l’Ouest du Canadien Pacifique.