De multiples raisons peuvent mener à la décision d’immigrer. Certaines, comme la guerre et la peur, sont plus tragiques que d’autres.
Lorsqu’elle arrive à Montréal, au début des années 1970, Aoura ne parle que l’italien, est tricoteuse de formation et ne connaît personne. Vingt ans après, elle est décorée chevalière du Québec.
Il y a de ces récits que l’on écoute dans un silence de respect et de recueillement tant l’expérience et le courage de la témoin sont difficilement concevables.
Comme pour beaucoup de jeunes immigrants, c’est l’esprit d’aventure qui mène Laura à Montréal. Cette folie de jeunesse a toutefois pris une forme inattendue, une réelle mission sociale.
Une bonne préparation à l’intégration à la société québécoise, une insertion rapide au marché du travail et un progrès constant, voilà ce qui caractérise le parcours de Darling Étienne Métayer.
En 1981, Dary Chan quitte un camp de réfugiés pour Montréal, accompagnée de son mari et de six enfants, dont quatre adoptés. Détermination et volonté d’ascension sociale caractérisent son parcours.
Apprendre et s’améliorer est fondamental pour Sanaâ Moâtaz. Cette aspiration et le goût de l’aventure, hérités de son grand-père, ont été les moteurs de son émigration du Maroc vers Montréal.
C’est parce qu’elle a elle-même subi discrimination et exploitation que Faustina Bilotta décide de s’impliquer pour les droits des immigrantes.
Le Centre d’histoire possède un uniforme bien original. D’avril à octobre 1967, il a vêtu l’une des élégantes hôtesses du pavillon du Québec à Expo 67.
Bienvenue au 798, avenue Champagneur. Cet appartement a été la principale résidence montréalaise de la famille Chancy, et certains le nomment la « première Maison d’Haïti ».