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Photo en noir et blanc d’une jeune fille en plan taille, de biais, avec les mains croisées.

Au début du XXe siècle au Québec, Christine Cadet, tisserande à la filature Hudon, devient à 21 ans la première femme vice-présidente d’un syndicat du textile

Photographie de profil d'une femme prenant le thé (à droite) et de la femme lui servant le thé (à gauche).

Bonne ou aide familiale, cette travailleuse fait partie de la réalité montréalaise depuis des siècles. Cette profession peu reconnue a cependant évolué au fil du temps et a su gagner ses galons.

Barbara Hasiotis posant dans une église

Souvent oubliées des récits d’immigration et d’intégration, les femmes grecques contribuent depuis leur arrivée à Montréal au développement de leur communauté et de leur famille.

Photo médaillon de la Mount Royal Spinning Company sise sur le bord du canal de Lachine.

En 1908, la Mount Royal Spinning Wool Company fait construire l’une des premières usines de Côte-Saint-Paul. Elle sera l’un des moteurs du développement du quartier.

Vue aérienne du site déblayé de Radio-Canada avec le point Jacques-Cartier en arrière-plan

Le Faubourg à m’lasse, appellation familière et non officielle, est un quartier populaire canadien-français composé de maisons à deux ou trois étages et de services de proximité.

Épicerie H. Piché, située au 1380, rue Forfar, au coin de la rue Bridge, dans le Goose Village.

Le Village-aux-Oies (Goose Village), aussi appelé Victoriatown, forme une petite enclave résidentielle au cœur d’une zone ferroviaire et industrielle. En 1964, tout est rasé.

Photographie en hauteur du quartier et du canal Lachine, vue vers le sud.

Domaine agricole sous le Régime français, Griffintown devient un des pivots de l’industrialisation montréalaise au XIXe siècle. C’est seulement une des étonnantes transformations qu’il a connues.

Photographie couleur de Griffintown le soir, vu du sud de Montréal.

Au XXe siècle, un inexorable déclin marque Griffintown : la population quitte les taudis tandis que l’industrie s’essouffle. Pendant les années 1990 s’amorce pourtant un spectaculaire retour à la vie.

Plan d’assurance couleur montrant les bâtiments de la filature Hudon.

Créée en 1872, la filature de Victor Hudon restera toujours pour les gens de Hochelaga « la Hudon », malgré plusieurs fusions. Il est vrai qu’elle a marqué l’histoire industrielle du quartier.

Vue sur une rangée de maisons ouvrières

À partir des années 1870, le village d’Hochelaga s’industrialise rapidement et le manque de logements est criant. La filature Hudon construit donc des habitations, principalement pour sa main-d’œuvre.