Bonne ou aide familiale, cette travailleuse fait partie de la réalité montréalaise depuis des siècles. Cette profession peu reconnue a cependant évolué au fil du temps et a su gagner ses galons.
Qu’ils soient ouvriers saisonniers ou permanents, les immigrants italiens du début du XXe siècle ont besoin d’un logement transitoire, le temps de bâtir leurs assises à Montréal.
Souvent séparées de leurs proches et de leurs enfants, des milliers de femmes philippines travaillent chaque année comme aides familiales à Montréal afin de soutenir financièrement leur famille.
Souvent oubliées des récits d’immigration et d’intégration, les femmes grecques contribuent depuis leur arrivée à Montréal au développement de leur communauté et de leur famille.
Le film de Giovanni Princigalli (Ho fatto il mio coraggio) a été salué par plusieurs prix. Dans une approche informée et humaine, le documentariste y présente un aspect singulier de l’immigration italienne à Montréal.
Se regrouper pour faire à manger offre de nombreux avantages. Les cuisines collectives permettent à leurs membres de cuisiner ensemble dans le plaisir, tout en faisant des économies.
Deuxième volet de la trilogie Ricordati di noi (Souviens-toi de nous), le documentaire Marguerita narre l’histoire de la plus ancienne boulangerie italo-montréalaise.
Née en Macédoine en 1932, Vasilka immigre au Québec en 1968. Son histoire, qui croise la grande histoire et révèle une facette de l’immigration vers Montréal, a été le sujet d’un film souvenir.
Photographies anciennes et souvenirs familiaux nous emmènent à Lachine au courant du XXe siècle. La vie de certains habitants y était rythmée par le fleuve, mais aussi par le sens des affaires.
Le documentaire Raconte-moi… Haïti et Montréal dévoile le parcours d’intégration montréalais de trois familles d’origine haïtienne à la suite du séisme survenu en Haïti en 2010.