De tout temps, les Montréalais ont affronté les incendies. Dans ce combat, ils ont bénéficié d’avancées techniques, de la professionnalisation de la lutte et d’une volonté accrue de prévention.
Homme de presse, Honoré Beaugrand devient maire de Montréal en 1885. Il s’attaque tout d’abord à la situation sanitaire critique de cette ville « crasseuse », où le risque d’épidémie est bien réel.
L’élite montréalaise du XIXe siècle forme de nombreuses sociétés savantes pour favoriser la science et la culture. L’une d’entre elles lutte déjà pour préserver le patrimoine montréalais.
De son vivant, l’amiral Nelson est déjà considéré comme un héros anglais. Il a navigué sur de nombreuses mers, mais a surtout remporté de mémorables victoires qui lui ont valu plusieurs blessures.
Pour le droit de suffrage féminin, l’accès à l’éducation ou l’amélioration des conditions de travail, Marie Gérin-Lajoie tente de réformer la société, et lutte en faveur d’un monde plus juste.
Meilleur directeur de théâtre canadien-français du début du XXe siècle, Georges Gauvreau se consacra à cette œuvre culturelle et au développement du cinéma au Québec.
Le 31 décembre 1737, Marguerite d’Youville et ses trois compagnes prononcent leurs vœux en secret. Cette date est considérée aujourd’hui comme celle de la fondation de la communauté des Sœurs grises.
Homme d’envergure, Jean Drapeau a décroché huit mandats à la mairie de Montréal et a lancé une série de grands projets qui ont transformé la ville. Il a cependant laissé un héritage controversé.
Le Centre d’histoire de Montréal dispose de deux objets représentatifs de la fameuse marque de pâtes montréalaise Catelli.
Le Red Light est en transformation dans les années d’après-guerre. Malgré sa réputation sulfureuse, le quartier reste résidentiel et une partie de sa population ne profite pas des activités illégales.