Pour Michel Barette, l’été 1967 est celui des grandes découvertes. Le p’tit gars d’Alma, qui s’extasie de la modernité de l’Expo comme de celle de Montréal, est touché par la démesure du monde.
À l’Expo, Janette Bertrand est fascinée par les pays d’Afrique et le Japon, mais elle fait aussi une belle découverte locale, celle d’un jeune artiste québécois qui va la marquer.
Le cinéaste Denys Arcand a frôlé une grande aventure : saisir le Québec sur pellicule pour le montrer au monde entier! Mais l’Expo 67 n’a pas tenu toutes ses promesses.
L’organisme Logexpo a été le motif de multiples plaintes, critiques et moqueries, et même d’une enquête provinciale. Son but, fort louable, paraissait pourtant assez simple.
Pourvu d’un talent exceptionnel pour le piano, Oscar Peterson devient une légende du jazz à Montréal et poursuit une brillante carrière internationale. Serait-il le plus grand des pianistes de jazz?
En juin et juillet 1983, des dizaines de manifestants scandent leur colère dans les rues de Montréal. La plupart sont des chauffeurs de taxi haïtiens. Quel est le motif de ces protestations?
Lieu essentiel pour la communauté noire de la Petite-Bourgogne et de Montréal, l’Union United Church est associée à deux figures marquantes, Anne Greenup et le révérend Charles Este.
L’école Platon et l’école Socrate, créées pour promouvoir la langue, la religion et la culture grecques, témoignent aussi des divisions qui existent au début du XXe siècle au sein de la communauté.
Décédé en 2005 à l’âge de 108 ans, le prêtre Nicholas Salamis, figure emblématique de la communauté grecque de Montréal, a été témoin de son développement pendant près d’un siècle.
Lors de la crise de Saint-Léonard, les Italo-Montréalais se font entendre sur la question de la langue d’enseignement. C’est un épisode marquant de leur intégration au système scolaire.