Employée de la Ville pendant plus de 20 ans, Jocelyne Lorquet a œuvré à accroître l’accessibilité et l’inclusion, et a travaillé auprès des jeunes pour favoriser une future mixité professionnelle.
Depuis 1978, Associées et bénévoles ont su adapter la gestion et la structure du Chaînon aux nouvelles réalités pour offrir des services toujours pertinents. Ce travail colossal doit être souligné.
Une activité de médiation, liée à l’exposition Lieux de mémoire du Quartier chinois : évoquer un quartier vivant, vise de jeunes adultes issus des communautés asiatiques et le grand public.
Imaginé dans les coulisses du MEM, ce balado vient à la rencontre d’une classe d’accueil de Montréal, le temps d’une année scolaire.
À partir de 1971, et pendant plus de 30 ans, l’humoriste Yvon Deschamps et l’artiste Judi Richards ont été porte-paroles du Chaînon. Leur fervent engagement résonne toujours dans l’esprit du public.
Dans les années 1970, les leaders de la communauté chinoise de Montréal s’organisent pour préserver une large part du Quartier chinois menacée de démolition.
« L’âme éternelle de la vieille Chine danse, la nuit, dans la ville chinoise de Montréal. » La Revue Moderne évoque ainsi, en 1937, un espace exotique toujours bien connu des Montréalais.
Andong Wang explore le dessin et la peinture comme vecteurs d’expression. Jumelant rigueur et intuition, ses œuvres reflètent, en trames épaisses ou traits subtils, la richesse de son monde intérieur.
Gardien de la mémoire collective du Quartier chinois, le personnage de Timothy Chiu Man Chan demeure aujourd’hui une source de sagesse et un symbole de résilience.