Située dans Griffintown, la tour Wellington est, au milieu du XXe siècle, l’une des plus importantes tours d’aiguillage en Amérique du Nord.
Au cours du XXe siècle, les relations entre Montréal et le Rwanda évoluent et s’intensifient. Après l’époque des missionnaires et des formations universitaires vient celle des réfugiés.
Au courant du XXe siècle, l’église Notre-Dame-du-Perpétuel Secours devient le centre de la vie sociale de Ville-Émard, accueillant en ses murs de nombreux événements et activités.
Entre 1887 et 1911, le centre-ville de Côte-Saint-Paul se dote de plusieurs bâtiments remarquables. Dessinés par des architectes de renom, ils sont le signe de l’expansion de ce secteur de Montréal.
En 1908, la Mount Royal Spinning Wool Company fait construire l’une des premières usines de Côte-Saint-Paul. Elle sera l’un des moteurs du développement du quartier.
Répondant à un besoin criant de logements, le gouvernement canadien favorise, dès 1941, la construction de petites maisons préfabriquées, qui vont transformer certains quartiers du Sud-Ouest.
Souvent oubliées des récits d’immigration et d’intégration, les femmes grecques contribuent depuis leur arrivée à Montréal au développement de leur communauté et de leur famille.
Plus de 15 000 Vietnamiens s’installent à Montréal à la fin des années 1970. Ils ont fui un régime communiste autoritaire, souvent au péril de leur vie.
Souvent séparées de leurs proches et de leurs enfants, des milliers de femmes philippines travaillent chaque année comme aides familiales à Montréal afin de soutenir financièrement leur famille.
On doit à Augustin Frigon, ingénieur en génie électrique méconnu, la création de la station CBF-Montréal, le réseau francophone de la société publique Radio-Canada alors toute nouvelle.