L'encyclopédie est le site du MEM - Centre des mémoires montréalaises

Résultats de recherche

Affichage 51 à 59 de 59 résultats
Le révérend Charles Este serre la main d’une paroissienne.

Lieu essentiel pour la communauté noire de la Petite-Bourgogne et de Montréal, l’Union United Church est associée à deux figures marquantes, Anne Greenup et le révérend Charles Este.

Deux pages d’un manuel d’école grec avec une illustration et du texte en grec.

L’école Platon et l’école Socrate, créées pour promouvoir la langue, la religion et la culture grecques, témoignent aussi des divisions qui existent au début du XXe siècle au sein de la communauté.

Le Père Salamis, en haut à droite, accompagné de plusieurs enfants devant l’église Holy Trinity.

Décédé en 2005 à l’âge de 108 ans, le prêtre Nicholas Salamis, figure emblématique de la communauté grecque de Montréal, a été témoin de son développement pendant près d’un siècle.

Délia Tétreault devenue sœur Marie-du-Saint-Esprit

Fondatrice de la première communauté de femmes missionnaires au Canada, Délia Tétreault a œuvré à Montréal. Mais son action a retenti jusqu’en Asie de l’Est.

Édifices sur la rue Craig (aujourd’hui Saint-Antoine), dont la buanderie Song Long.

À la fin du XIXe siècle, Jos Song Long et sa buanderie intriguent les Montréalais : il est le premier immigrant d’origine chinoise à établir un commerce dans la ville.

Scène de rue dans le Quartier chinois en 1966.

Depuis le XIXe siècle, les immigrants chinois ont transformé à leur façon le paysage culturel de Montréal.

L'intérieur de la Pagode Quan-Am

Originaires de pays durement marqués par des régimes autoritaires communistes, les immigrants de l’Asie du Sud-Est apportent à Montréal un lourd bagage.

Sœur Marie-Noémie et Sœur Saint-Honoré prodiguent des soins à des patients de l’Hôpital chinois.

Au début du XXe siècle, les Sœurs Missionnaires de l’Immaculée-Conception tissent des liens avec la Chine. Certaines y résident dès 1909, d’autres se consacrent à la communauté chinoise de Montréal.

Plan du fief Nazareth en 1805

La femme d’affaires Mary Griffin a laissé son nom au secteur qu’elle a elle-même acheté, au tout début du XIXe siècle.