Le 1er août 1834, dans le port de Montréal, on célèbre la mise en vigueur de la Loi de l’abolition de l’esclavage dans les colonies britanniques. On trinque à la santé de l’Empire!
Modestes ou flamboyantes, les vitrines montréalaises du XXe siècle reflètent l’évolution de notre société et de ses valeurs.
Innover tout en préservant l’esprit traditionnel du temps des Fêtes, voilà le défi qui se pose aux détaillants montréalais tout au long du XXe siècle.
On s’extasie devant les vitrines montréalaises depuis longtemps. La volonté des commerçants de se distinguer et des ouvertures en façade toujours plus grandes ont conduit à un foisonnement décoratif.
Sur les rives de l’île de Montréal, on voit accoster, entre 1776 et 1785, de nombreux Anglo-Américains. Venant des Treize Colonies, ils fuient la guerre.
Alors qu’en 1760, le Canada bascule dans l’univers colonial anglais d’Amérique, plusieurs marchands britanniques voient Montréal comme un lieu d’affaires prometteur!
Comment, au début du XVIIIe siècle, de jeunes Anglo-Américaines, les sœurs French, se retrouvent-elles à Montréal, alors territoire ennemi?
L’effervescence industrielle de Montréal attire plusieurs grands gestionnaires des États-Unis. Leurs traces sont encore perceptibles dans le patrimoine bâti ou la toponymie.
Musiciens, médecins ou simples soldats, plus d’un millier d’Allemands font souche au Québec après avoir combattu pour l’Angleterre contre les Treize colonies entre 1776 et 1783.
En 1900, un jeune Américain, apparemment le premier architecte paysagiste installé à Montréal, se lance dans l’aventure : créer d’inspirants havres de nature dans une trépidante ville moderne.