Dans Parc-Extension, des générations d’hommes et de femmes de diverses origines ont construit leur histoire montréalaise au quotidien.
À partir du XIXe siècle, le mont Royal accueille les cimetières de Montréal, le sauvant ainsi de l’urbanisation. Ces lieux abritent aujourd’hui un riche patrimoine, tant funéraire que naturel.
Comment imaginer qu’à l’emplacement actuel de la place du Canada et du square Dorchester se trouvait le cimetière catholique Saint-Antoine, où furent inhumées environ 55 000 personnes?
Quelques milliers de personnes venues de la Syrie « historique » sont entrées au Canada avant 1940. Grâce notamment au travail, ces immigrants ont créé des liens sociaux au-delà de leur communauté.
L’inspiration de fonder Montréal vient à Le Royer de la Dauversière en 1635, à la cathédrale Notre-Dame de Paris. Il crée une société qui soutiendra activement ce projet pendant plus de 20 ans.
À l’occasion de l’Année sainte, en 1950, Monseigneur Léger dirige une émission radiophonique quotidienne pendant un mois. Plus de 30 000 auditeurs réclameront la prolongation de cette émission.
L’ampleur de la production du sculpteur québécois Émile Brunet est étonnamment méconnue. L’artiste talentueux, formé au Québec, aux États-Unis et en France, a en effet signé quelque 200 monuments.
Montréal est communément reconnue pour être « la ville aux cent clochers ». Plus que des lieux de culte, plusieurs de ses églises sont souvent le cœur de la vie communautaire immigrante.
Le parc Jeanne-Mance, situé à l’est du mont Royal, a porté plusieurs noms et a accueilli de multiples fonctions. Il fait ainsi partie du paysage montréalais depuis fort longtemps.
La Pagode khmère du Canada, située au nord de l’arrondissement Côte-des-Neiges–Notre-Dame-de-Grâce, est la première pagode bouddhiste cambodgienne à voir le jour sur l’île de Montréal.









