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Ouvriers de la fonderie Clendinning au travail en 1872.

L’industrie métallurgique montréalaise se développe intensément au XIXe siècle. Le dur métier d’ouvrier mouleur, qui nécessite habileté et force physique, est au cœur du travail des fonderies.

Édifice ayant abrité la fonderie Darling

En 1888, les trois frères Darling tentent leur chance dans un secteur en pleine expansion : la métallurgie. Ils seront bientôt à la tête du plus important complexe industriel de Griffintown.

Gravure publicitaire représentant l’atelier de marine du Canada, avec la cale sèche et le chantier naval, incluant la scierie, le hangar à voiliers et l'atelier de chaudronnerie.

En 1846, Augustin Cantin installe les plus vastes ateliers de construction navale de Montréal aux abords du canal de Lachine.

Photo noir et blanc montrant une petite maison et un dépanneur délabrés

La maison Keegan aurait été construite dans les premières décennies du XIXe siècle, alors que le quartier Griffintown était en plein essor.

Vue aérienne d'une cour d'aiguillage

Située dans Griffintown, la tour Wellington est, au milieu du XXe siècle, l’une des plus importantes tours d’aiguillage en Amérique du Nord.

Photographie couleur de Griffintown le soir, vu du sud de Montréal.

Au XXe siècle, un inexorable déclin marque Griffintown : la population quitte les taudis tandis que l’industrie s’essouffle. Pendant les années 1990 s’amorce pourtant un spectaculaire retour à la vie.

Photographie en hauteur du quartier et du canal Lachine, vue vers le sud.

Domaine agricole sous le Régime français, Griffintown devient un des pivots de l’industrialisation montréalaise au XIXe siècle. C’est seulement une des étonnantes transformations qu’il a connues.

Vestiges de l’église Sainte-Anne en 2016.

Au coin des rues Basin et de la Montagne se trouve un parc où gisent des vestiges de pierre. Ce sont les traces d’un lieu emblématique pour les Irlando-Catholiques de Montréal, l’église Sainte-Anne.

Monument en l’honneur des victimes du typhus. Il s’agit d’une immense pierre à l’entrée du pont Victoria.

Des bateaux pleins à craquer, de longues quarantaines et des milliers de morts : l’arrivée massive des Irlandais à Montréal en 1847 met dans l’ombre une immigration débutée dès le XVIIe siècle.

Vitrail du père Dowd dans la basilique de Saint-Patrick

En 1866, un projet de l’évêque de Montréal menace l’intégrité des églises irlandaises catholiques. Le père Patrick Dowd, curé de l’église Saint-Patrick, compte parmi ses plus farouches opposants.