Désirant construire une nouvelle cathédrale à Montréal, l’évêque Ignace Bourget rêve d’un bâtiment à l’image de Saint-Pierre-de-Rome. Le 28 août 1870, la première pierre de l’édifice est posée.
Par l’œuvre d’une vie, la fondatrice de l’association Le Chaînon a secouru des générations de Montréalaises dans le besoin. Sa mission se poursuit, selon les valeurs qu’elle a transmises.
Fondé au XVIIe siècle, puis établi en 1861 dans le futur quartier Milton Parc qu’il a fortement marqué, l’Hôtel-Dieu a été au service de la santé des Montréalais pendant près de 380 ans.
L’Oratoire Saint-Joseph est un des lieux phares des célébrations des fêtes à Montréal. Les crèches de la Nativité et les mélodieux Petits Chanteurs du Mont-Royal y attirent des foules.
Cléophée Têtu se distingue parmi les religieuses ayant œuvré pour la santé ou l’éducation, car elle a mis sur pied l’Asile Saint-Jean-de-Dieu, qui est devenu une institution montréalaise.
Nommé deuxième évêque de Montréal en 1840, Ignace Bourget nourrit l’espoir de raviver la ferveur religieuse des fidèles de son diocèse.
Célébrée à Montréal dès le XVIIe, la Fête-Dieu est contestée par des groupes protestants au XIXe. Tenue 60 jours après Pâques, elle donne lieu à des processions majestueuses jusqu’aux années 1960.
Ces deux imposantes églises, érigées l’une à côté de l’autre dans la rue du Centre, témoignent de la présence des communautés irlandaise et canadienne-française dans Pointe-Saint-Charles.
Fondatrice de la première communauté de femmes missionnaires au Canada, Délia Tétreault a œuvré à Montréal. Mais son action a retenti jusqu’en Asie de l’Est.
Des bateaux pleins à craquer, de longues quarantaines et des milliers de morts : l’arrivée massive des Irlandais à Montréal en 1847 met dans l’ombre une immigration débutée dès le XVIIe siècle.