Une bonne préparation à l’intégration à la société québécoise, une insertion rapide au marché du travail et un progrès constant, voilà ce qui caractérise le parcours de Darling Étienne Métayer.
Comme pour beaucoup de jeunes immigrants, c’est l’esprit d’aventure qui mène Laura à Montréal. Cette folie de jeunesse a toutefois pris une forme inattendue, une réelle mission sociale.
Il y a de ces récits que l’on écoute dans un silence de respect et de recueillement tant l’expérience et le courage de la témoin sont difficilement concevables.
Lorsqu’elle arrive à Montréal, au début des années 1970, Aoura ne parle que l’italien, est tricoteuse de formation et ne connaît personne. Vingt ans après, elle est décorée chevalière du Québec.
De multiples raisons peuvent mener à la décision d’immigrer. Certaines, comme la guerre et la peur, sont plus tragiques que d’autres.
Un documentaire du Centre d’histoire et du Collectif des femmes immigrantes du Québec met en vedette des femmes porteuses d’un organisme fédérateur et de leur intégration à la société montréalaise.
En 1908, la Mount Royal Spinning Wool Company fait construire l’une des premières usines de Côte-Saint-Paul. Elle sera l’un des moteurs du développement du quartier.
Souvent oubliées des récits d’immigration et d’intégration, les femmes grecques contribuent depuis leur arrivée à Montréal au développement de leur communauté et de leur famille.
Souvent séparées de leurs proches et de leurs enfants, des milliers de femmes philippines travaillent chaque année comme aides familiales à Montréal afin de soutenir financièrement leur famille.
Bonne ou aide familiale, cette travailleuse fait partie de la réalité montréalaise depuis des siècles. Cette profession peu reconnue a cependant évolué au fil du temps et a su gagner ses galons.