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Diane Groulx de plein pied au milieu d’un grand espace vert envoie la main au photographe

Alors jeune fille de 20 ans, Diane Groulx a travaillé tout l’été 1967 à l’Expo. L’expérience l’a transformée et lui a permis de réaliser l’immensité du monde à découvrir.

Roger La Roche

Jeune adolescent, Roger La Roche visite le chantier d’Expo 67, puis travaille sur le site de l’exposition qu’il explore à maintes reprises. Il dévoile ici, avec passion, ses nombreux souvenirs.

Photos individuelles en médaillon de quinze femmes et d'un homme.

Quelques milliers de personnes venues de la Syrie « historique » sont entrées au Canada avant 1940. Grâce notamment au travail, ces immigrants ont créé des liens sociaux au-delà de leur communauté.

Page couverture du passeport Expo 67 de Nicole Poliquin

L’été 1967, Nicole Poliquin a la responsabilité, à Trois-Rivières, d’un kiosque d’information touristique sur l’Expo 67. L’étudiante obtient alors un accès privilégié à l’Exposition et au monde.

Un homme fait la sieste sur le pas de la porte sous le regard d'une petite fille.

En 1953, le premier contingent d’immigrants portugais arrive au Canada. Ils sont suivis par d’autres, venant du continent, des Açores et de Madère. Plusieurs deviennent Montréalais.

Portrait pied d'Ucal-Henri Dandurand

Premier propriétaire et conducteur d’une automobile à Montréal, il a fait fortune dans un nouveau secteur de l’économie à la fin du XIXe siècle, l’immobilier. Qui est cet homme?

Plan d’assurance couleur montrant les bâtiments de la filature Hudon.

Créée en 1872, la filature de Victor Hudon restera toujours pour les gens de Hochelaga « la Hudon », malgré plusieurs fusions. Il est vrai qu’elle a marqué l’histoire industrielle du quartier.

Groupe d’employés posant devant la beurrerie de l’île Bizard vers1910.

Sur l’île Bizard, où se trouvaient les meilleures terres agricoles de la région montréalaise, la production laitière allait de soi. En 1851, les fermes y produisaient 13 020 livres de beurre!

Six Açoriens posent devant une maison en tenant un drapeau.

Les premiers Açoriens ont immigré à Montréal dans les années 1950. Ils évoquent leur premier travail, les difficultés familiales ou administratives, mais aussi la naissance d’une communauté.

Spectacle de danse lors de la fête nationale de la Colombie au parc Jean-Drapeau, de jour

Au XXe siècle, de nombreux Colombiens se sont établis à Montréal, dans des conditions et pour des raisons très diverses. Ils forment aujourd’hui une communauté originale.