Des bateaux pleins à craquer, de longues quarantaines et des milliers de morts : l’arrivée massive des Irlandais à Montréal en 1847 met dans l’ombre une immigration débutée dès le XVIIe siècle.
À partir des années 1960, la présence libanaise se diversifie et s’intensifie à Montréal, qui, 40 ans plus tard, compte la plus forte population originaire du Liban au Canada.
À partir des années 1950, les séfarades arrivent nombreux à Montréal. Leur venue modifie le visage de la communauté juive montréalaise, jusqu’alors à prédominance ashkénaze et anglophone.
Peut-être êtes-vous déjà entré dans la bâtisse de l’Union française, au coin des rues Viger et Berri? Si tel est le cas, vous pouvez témoigner de l’ambiance chargée d’histoire qui y règne.
Pendant et après la Seconde Guerre mondiale, des intellectuels de l’élite polonaise trouvent refuge au Canada et organisent la vie culturelle polonaise à Montréal. Parmi eux, une femme…
La Petite Italie est le cœur de la présence italienne à Montréal. Pourtant, les Italo-Montréalais se sont installés dans tous les quartiers et colorent généreusement le paysage de la ville.
Après des études en art à Florence, Guido Nincheri s’établit à Montréal et devient un décorateur d’églises prestigieux. Ses œuvres magnifiques ornent de nombreux lieux de culte en Amérique du Nord.
Louis Muhlstock, comme d’autres peintres juifs de Montréal, se consacre longtemps aux petites gens et aux paysages urbains. Artiste de renom, il est exposé au Canada et à l’étranger.
Que ce soit par une église aux dômes impressionnants ou par un commerce aux saveurs européennes, la présence des Européens de l’Est à Montréal est visible dans tous les quartiers.
Des commerces, comme le célèbre restaurant Schwartz’s, représentent les emblèmes visibles d’une communauté dont les contributions sont passées à l’histoire.