Dans l’administration municipale, Claudie Mompoint a contribué avec ardeur à la création de structures favorisant notamment les relations interculturelles, l’intégration et la solidarité.
La carrière de Patrice Vilcéus au sein du SPVM a été marquée par des missions délicates et l’obtention de postes de commandement. Durant ces 30 années, il a combattu le racisme dans l’institution.
Employée de la Ville pendant plus de 20 ans, Jocelyne Lorquet a œuvré à accroître l’accessibilité et l’inclusion, et a travaillé auprès des jeunes pour favoriser une future mixité professionnelle.
Devenu le premier policier noir de l’histoire du Québec en 1974, Édouard Anglade a été un leader communautaire à Montréal. Il est un modèle de réussite pour les jeunes Montréalais afrodescendants.
En 1833, 42 Montréalais élisent, indirectement, le premier maire de la ville, Jacques Viger. C’est la naissance de la politique municipale et l’entrée d’un homme dans l’histoire de Montréal.
Homme de projets et rassembleur efficace, Lucien L’Allier a mené à bien le gigantesque chantier du métro de Montréal. Son travail acharné améliore depuis la vie quotidienne des Montréalais.
Immigrant de Syrie au début du XXe siècle, Georges Farah-Lajoie entre dans la police montréalaise en 1906. Il devient graduellement un véritable personnage et, pour certains, un héros.
De 1880 à 1916, Silas Carpenter a mené une brillante carrière de policier, principalement à Montréal. Son succès est en partie dû à l’arrestation du plus célèbre criminel québécois du XIXe siècle.
On le surnommait « le médecin des pauvres », et une école portait son nom de son vivant. Portrait du docteur Baril qui eut une énorme influence de 1883 à 1913 dans le quartier Hochelaga.
Nommé chef de la police de Montréal en 1947, Albert Langlois a été condamné et déclaré inapte à occuper des charges municipales à la suite de l’enquête Caron. Mais il a fait appel.