Pour Expo 67, le Québec redéfinit son identité face au monde. Loin d’une vision folklorique de la culture québécoise, le pavillon du Québec présente une nation moderne et tournée vers l’avenir.
Bien qu’il s’agisse d’un petit pays, la présence de Cuba à Expo 67 fait grand bruit. Très fréquenté, le modeste pavillon cubain suscite la controverse et sera même la cible de projets d’attentats.
À l’occasion d’Expo 67, les Premières Nations du Canada font connaître au monde entier leur histoire tragique et leurs difficiles conditions de vie, dans un pavillon qui ne passe pas inaperçu.
Le Faubourg à m’lasse, appellation familière et non officielle, est un quartier populaire canadien-français composé de maisons à deux ou trois étages et de services de proximité.
Inaugurée en 1963, la Grande Salle de la Place des Arts enthousiasme experts et public. L’ajout de deux théâtres, hâté par Expo 67, crée un véritable complexe culturel au centre-ville de Montréal.
En 1967, la rivalité États-Unis–URSS oriente les relations internationales, accapare les esprits et s’impose jusqu’à l’Exposition de Montréal, où les pavillons des deux pays fascinent.
La construction du site d’Expo 67, en moins de 18 mois, est une prouesse d’ingénierie. Ce chantier pharaonien voit la création d’une île, l’agrandissement d’une autre île et la mutation d’une jetée.
Créée dans les années 1980, dans un quartier alors peu multiethnique, l’épicerie-restaurant Méli-Mélo a contribué à changer l’image de la communauté haïtienne aux yeux de nombreux Montréalais.
Au courant du XXe siècle, l’église Notre-Dame-du-Perpétuel Secours devient le centre de la vie sociale de Ville-Émard, accueillant en ses murs de nombreux événements et activités.
Au coin des rues Basin et de la Montagne se trouve un parc où gisent des vestiges de pierre. Ce sont les traces d’un lieu emblématique pour les Irlando-Catholiques de Montréal, l’église Sainte-Anne.