Dans les années 1930 naît le renommé restaurant Au lutin qui bouffe. Pendant plus de trois décennies, la qualité de sa cuisine et sa grande originalité en font un lieu phare des nuits montréalaises.
Dans ce lieu, dont la vocation sera tour à tour religieuse, administrative et récréative, commence l’histoire d’Hochelaga dans la première moitié du XIXe siècle.
Le parc Saint-Paul, tout comme la fontaine qui l’embellit, rappelle l’ambition de certains citoyens de Côte-Saint-Paul, mais aussi leur générosité envers leur quartier.
Réputé pour son service exemplaire, sa fine cuisine et ses cocktails chics, le Ruby Foo’s était fréquenté par les célébrités et les quidams en quête de faste.
Au courant des années 1950, le style « pop-polynésien » gagne Montréal. Dans un décor inspiré du Pacifique, le restaurant Kon Tiki offre l’illusion de l’exotisme à ses clients.
L’histoire du Mile End au XXe siècle est étroitement associée à celle de la communauté juive. Deux institutions, aux visées contrastées, y ont profondément laissé leur marque.
La maison Déloche, érigée en plein cœur de l’ancien village Saint-Augustin, figure parmi les plus anciennes résidences du secteur qu’on appelle aujourd’hui « Saint-Henri ».
Tanneries et carrières ont fortement marqué l’histoire du Mile End, car elles ont conduit à l’édification d’un premier village, puis à la création de la municipalité de la Côte-Saint-Louis.
Créé dans les années 1920, le Palais des Nains est une des attractions de Montréal qui attirent alors les touristes. Ici, excentricité et divertissement populaire sont de mise!
Dès la fin du XVIIIe siècle, un secteur du Vieux-Montréal est consacré à l’administration civile et à la justice. Encore de nos jours, juristes et fonctionnaires municipaux s’y activent.