Dans la rue Dominion de la Petite-Bourgogne, on aperçoit une imposante tour à balles, vestige de l’ancien complexe industriel de la Steel Company of Canada, connue sous le nom de Stelco.
Ouverte en 1862 dans la rue Richmond, l’église Saint-Joseph reste l’un des derniers témoins du passé de ce secteur, complètement réaménagé dans les années 1960.
Quartier industriel vibrant à la fin du XIXe siècle, la Petite-Bourgogne a hébergé plusieurs communautés culturelles au cours de son histoire.
En 1846, Augustin Cantin installe les plus vastes ateliers de construction navale de Montréal aux abords du canal de Lachine.
La maison Keegan aurait été construite dans les premières décennies du XIXe siècle, alors que le quartier Griffintown était en plein essor.
Située dans Griffintown, la tour Wellington est, au milieu du XXe siècle, l’une des plus importantes tours d’aiguillage en Amérique du Nord.
Domaine agricole sous le Régime français, Griffintown devient un des pivots de l’industrialisation montréalaise au XIXe siècle. C’est seulement une des étonnantes transformations qu’il a connues.
Au courant du XXe siècle, l’église Notre-Dame-du-Perpétuel Secours devient le centre de la vie sociale de Ville-Émard, accueillant en ses murs de nombreux événements et activités.
Entre 1887 et 1911, le centre-ville de Côte-Saint-Paul se dote de plusieurs bâtiments remarquables. Dessinés par des architectes de renom, ils sont le signe de l’expansion de ce secteur de Montréal.
En 1908, la Mount Royal Spinning Wool Company fait construire l’une des premières usines de Côte-Saint-Paul. Elle sera l’un des moteurs du développement du quartier.