Sur les rives de l’île de Montréal, on voit accoster, entre 1776 et 1785, de nombreux Anglo-Américains. Venant des Treize Colonies, ils fuient la guerre.
Une accumulation de neige de 43 cm en 24 h, un vent de 108 km/h, des motoneigistes assistant les citadins, et malheureusement 17 victimes. Ce ne sont là que quelques aspects d’une tempête mémorable.
Découvrir l’histoire de l’ancienne traverse de Montréal-Nord permet de rencontrer des personnages marquants de ce quartier. La famille L’Archevêque et le docteur Clermont sont de ceux-là.
Avec toujours autant d’acuité, le roman de Gabrielle Roy, Bonheur d’occasion, entraîne le lecteur au cœur du quartier Saint-Henri et témoigne de la dureté de la vie des ouvriers d’alors.
À deux reprises, à 157 ans d’intervalle, le site Dawson, situé au centre-ville de Montréal, a révélé des vestiges du seul village des Iroquoiens du Saint-Laurent retrouvé sur l’île.
Témoins des premiers établissements français, les alentours de la maison d’Étienne Nivard de Saint-Dizier ont révélé un des principaux sites archéologiques autochtones de l’île de Montréal.
Qui se cache sous les bandelettes millénaires de la momie de l’UQAM? Quel est le parcours de cet antique témoignage d’une civilisation éteinte? Bref retour sur Hetep-Bastet, un trésor mystérieux.
Criminalisés et réprimés dès la colonisation, les rapports homosexuels sont cantonnés à l’espace privé. Vers 1900, divers lieux de drague homosexuelle, parfois très fréquentés, émergent à Montréal.
En 1908 et 1916, la découverte et le démantèlement de clubs privés voués à des activités homosexuelles ébranlent Montréal. Ce scandale a une forte résonnance dans la presse et marque les esprits.
En 1915, un groupe de villageois arméniens, installé au sommet du Musa Dagh, résiste à la déportation. Transmise de génération en génération, cette histoire héroïque est arrivée jusqu’à Montréal.