Sa vie durant, Gábor Boros a recherché ses racines dans sa Hongrie natale tout en s’ancrant dans son pays d’accueil. Car, même parfaitement intégré, il est impossible de nier d’où l’on vient.
La volonté des Montréalaises et Montréalais d’être consultés dans les débats sur l’aménagement s’exprime tôt dans l’histoire de la ville, et de plus en plus fermement au milieu du XXe siècle.
En janvier 2002, l’Office de consultation publique de Montréal voit le jour au même moment que la nouvelle Ville de Montréal.
Experts de la consultation publique, les commissaires de l’OCPM apportent une contribution significative à la démocratie montréalaise.
Lors de certaines consultations, l’OCPM convie les Montréalaises et les Montréalais à participer à des réflexions visionnaires et à influencer l’avenir de la ville dans son ensemble.
Fondé en 1975, le groupe militant le Monde à Bicyclette revendique les droits des cyclistes en milieu urbain. Il se fait connaître par ses tactiques peu orthodoxes non dénuées d’humour.
À la fin des années 1960, le Congrès des écrivains noirs et la crise de l’Université Sir George Williams révèlent un militantisme noir montréalais lié aux mouvements protestataires mondiaux.
À partir des années 1920, Montréal a vécu à l’heure du jazz. La Petite-Bourgogne, alors surnommée le « Harlem du Nord », lui a donné des salles et des musiciens de renommée internationale.
Créée en 1925, la Division de l’expertise et du soutien technique est le plus ancien laboratoire municipal au Canada. Une cinquantaine de spécialistes s’y partagent des tâches très diversifiées.
En 1915, un groupe de villageois arméniens, installé au sommet du Musa Dagh, résiste à la déportation. Transmise de génération en génération, cette histoire héroïque est arrivée jusqu’à Montréal.