Ouverte en 1862 dans la rue Richmond, l’église Saint-Joseph reste l’un des derniers témoins du passé de ce secteur, complètement réaménagé dans les années 1960.
Répondant à un besoin criant de logements, le gouvernement canadien favorise, dès 1941, la construction de petites maisons préfabriquées, qui vont transformer certains quartiers du Sud-Ouest.
Le Hall Mazzini, le commerce de la famille Di Lallo ou encore l’église Saint-Jean-Bosco révèlent l’importance de la communauté italienne installée dans Ville-Émard dès le début de son développement.
Une grande fête de quartier est lancée en 1958 à Côte-Saint-Paul : on vient d’annoncer la construction d’un nouveau centre de loisirs, qui animera ce quartier du Sud-Ouest de Montréal.
Le bain Émard est inauguré en 1914, quelques années après l’annexion des quartiers Émard et Saint-Paul à la Ville de Montréal.
Quartier industriel vibrant à la fin du XIXe siècle, la Petite-Bourgogne a hébergé plusieurs communautés culturelles au cours de son histoire.
La construction d’une imposante église dans la rue Saint-Jacques, en 1869, amorce le développement d’une place animée au cœur de Saint-Henri.
Au courant du XXe siècle, l’église Notre-Dame-du-Perpétuel Secours devient le centre de la vie sociale de Ville-Émard, accueillant en ses murs de nombreux événements et activités.
Domaine agricole sous le Régime français, Griffintown devient un des pivots de l’industrialisation montréalaise au XIXe siècle. C’est seulement une des étonnantes transformations qu’il a connues.
L’ouverture de la tannerie Moseley, première usine de Saint-Henri, illustre la transition des anciennes tanneries artisanales du quartier vers l’ère industrielle.