Bien implantées dans leur milieu, les maisons de la culture de Montréal travaillent depuis 40 ans à resserrer le tissu social dans les quartiers où elles se trouvent.
Le bain Émard est inauguré en 1914, quelques années après l’annexion des quartiers Émard et Saint-Paul à la Ville de Montréal.
Accessibles et audacieuses, les maisons de la culture de Montréal sont, dès les années 1980, des lieux innovants de démocratisation culturelle.
Construit en pleine crise économique, le bain Hogan, ouvert de 1932 à 1991, a marqué la mémoire des habitants de Pointe-Saint-Charles.
En 1981, une première maison de la culture ouvre ses portes à Montréal dans l’objectif de rendre la culture plus accessible dans les quartiers de la ville.
Montréal compte l’un des plus importants programmes de jardins communautaires au monde. Nés d’initiatives citoyennes, ils permettent à des milliers de citoyens de cultiver un lopin de terre en ville.
Des pans entiers du patrimoine bâti de la métropole disparaissent dans les années 1950 et 1960 au nom de la modernité. Il faut tout documenter. Des fonctionnaires sont à l’œuvre sur le terrain.
Jean-Paul Gill a été photographe pour la Ville de Montréal de 1951 à 1983. C’est lui qui arpenta les rues du Red Light et de Goose Village pour faire l’inventaire des lieux.
On le surnommait « le médecin des pauvres », et une école portait son nom de son vivant. Portrait du docteur Baril qui eut une énorme influence de 1883 à 1913 dans le quartier Hochelaga.
Au XIXe siècle, l’état de santé des Montréalais s’aggravant, des mesures sont prises pour enrayer les plus graves épidémies. Les autorités sont enfin convaincues de la nécessité de l’hygiène.