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Affichage 1 à 10 de 28 résultats pour le terme de recherche "quartier chinois".
Six musiciens se trouvent sur scène et jouent

Bien implantées dans leur milieu, les maisons de la culture de Montréal travaillent depuis 40 ans à resserrer le tissu social dans les quartiers où elles se trouvent.

Vue de face du bain Émard

Le bain Émard est inauguré en 1914, quelques années après l’annexion des quartiers Émard et Saint-Paul à la Ville de Montréal.

Six garçons et filles regardent des photos collées sur le plafond et les murs d’une petite maison.

Accessibles et audacieuses, les maisons de la culture de Montréal sont, dès les années 1980, des lieux innovants de démocratisation culturelle.

Un groupe d'environ une trentaine d'hommes pose sur le bord de la piscine.

Construit en pleine crise économique, le bain Hogan, ouvert de 1932 à 1991, a marqué la mémoire des habitants de Pointe-Saint-Charles.

Vue de haut d’un escalier et de étages d’un bâtiment. Une dizaine de personnes montent l’escalier. Aux deux étages, des gens sont rassemblées.

En 1981, une première maison de la culture ouvre ses portes à Montréal dans l’objectif de rendre la culture plus accessible dans les quartiers de la ville.

Quatre hommes âgés posent devant un très gros navet, près de parcelles dégarnies, entourées d’immeubles d’habitation.

Montréal compte l’un des plus importants programmes de jardins communautaires au monde. Nés d’initiatives citoyennes, ils permettent à des milliers de citoyens de cultiver un lopin de terre en ville.

Fonctionnaire de la Ville de Montréal dans une usine du Faubourg à m’lasse.

Des pans entiers du patrimoine bâti de la métropole disparaissent dans les années 1950 et 1960 au nom de la modernité. Il faut tout documenter. Des fonctionnaires sont à l’œuvre sur le terrain.

Albert J. Giroux (assis) serrant la main du photographe Jean-Paul Gill lors d’une fête pour la retraite de M. Giroux.

Jean-Paul Gill a été photographe pour la Ville de Montréal de 1951 à 1983. C’est lui qui arpenta les rues du Red Light et de Goose Village pour faire l’inventaire des lieux.

Portrait en plan poitrine d’un homme qui regarde de biais. Il porte moustache et barbichette.

On le surnommait « le médecin des pauvres », et une école portait son nom de son vivant. Portrait du docteur Baril qui eut une énorme influence de 1883 à 1913 dans le quartier Hochelaga.

Dessin représentant la Mort chevauchant à travers les rues de Montréal, la nuit, accompagnée des spectres du choléra, de la fièvre et de la variole.

Au XIXe siècle, l’état de santé des Montréalais s’aggravant, des mesures sont prises pour enrayer les plus graves épidémies. Les autorités sont enfin convaincues de la nécessité de l’hygiène.