Les photographies d’un jeune Montréalais nous emmènent à bord d’un croiseur français en 1913, et nous invitent aux festivités qui ont souligné la venue de ce bâtiment de guerre.
De son vivant, l’amiral Nelson est déjà considéré comme un héros anglais. Il a navigué sur de nombreuses mers, mais a surtout remporté de mémorables victoires qui lui ont valu plusieurs blessures.
Musiciens, médecins ou simples soldats, plus d’un millier d’Allemands font souche au Québec après avoir combattu pour l’Angleterre contre les Treize colonies entre 1776 et 1783.
Né dans un village ontarien, Bethune est élevé par une famille religieuse qui l’influence grandement. La Première Guerre interrompt ses études, mais ne le dissuade pas de devenir chirurgien.
La Grande Dépression amène Bethune à repenser le rôle de l’État dans le système de santé. Puis un voyage en URSS lui confirme que d’autres modèles sociopolitiques sont possibles.
Le 16 octobre 1970, en vertu de la Loi sur les mesures de guerre, le gouvernement canadien adopte un règlement draconien. Près de 8000 soldats sont déployés à Montréal.
Répondant à un besoin criant de logements, le gouvernement canadien favorise, dès 1941, la construction de petites maisons préfabriquées, qui vont transformer certains quartiers du Sud-Ouest.
Du fortin de l’époque française à la forteresse britannique, l’histoire militaire de l’île Sainte-Hélène est séculaire. Et aujourd’hui encore, sa vocation muséale est liée à son passé guerrier.
Saviez-vous que Montréal manqua devenir américaine, et avec elle tout le Québec, parce que les colons de la Nouvelle-Angleterre se révoltaient contre leur mère patrie?
Montréal étant situé au cœur d’un réseau hydrographique, sa fonction militaire, liée au ravitaillement, au transport des troupes et à l’organisation d’infrastructures militaires, s’est imposée d’elle-même.