En 1967, la rivalité États-Unis–URSS oriente les relations internationales, accapare les esprits et s’impose jusqu’à l’Exposition de Montréal, où les pavillons des deux pays fascinent.
Inaugurée en 1963, la Grande Salle de la Place des Arts enthousiasme experts et public. L’ajout de deux théâtres, hâté par Expo 67, crée un véritable complexe culturel au centre-ville de Montréal.
Depuis plus de 30 ans, le Club Balattou, bar-spectacle de la rue Saint-Laurent, est un endroit incontournable pour qui s’intéresse aux musiques d’ascendance africaine.
La fête des Morts, célébrée au Mexique depuis environ 3500 ans, se transporte à Montréal aux mois d’octobre et de novembre 2011.
L’installation des Péruviens à Montréal est récente, et ils font encore face à des obstacles économiques. Cependant, ce groupe est déjà très dynamique sur la scène culturelle de la métropole.
Depuis trois générations, une famille venue du Venezuela fait vivre, à Montréal, la musique folklorique de son pays d’origine. Elle y a fondé des groupes musicaux, mais aussi une école.
Les festivités de Noël des Latino-Américains de Montréal s’inspirent à la fois des traditions des divers pays d’origine et du pays d’accueil. Spiritualité, partage et gaité sont au rendez-vous.
Acteur, chroniqueur à Radio-Canada international, co-fondateur du festival Vues d’Afrique, et plus encore, Ousseynou Diop a largement contribué à établir des ponts entre Montréal et le continent africain.
Alexander Cowper Hutchison conçoit, dès 1883, les palais de glace des Carnavals d’hiver de Montréal. À titre de concepteur de bâtiments de glace, la réputation de cet autodidacte sera internationale.
En 1967, Judy Rebick, jeune étudiante, héberge deux groupes de rock emblématiques de la contreculture. Invités à visiter l’Exposition de Montréal, ils s’en désintéressent complètement.