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Photographie de Marie Gérin-Lajoie diplômée en 1911

Pour le droit de suffrage féminin, l’accès à l’éducation ou l’amélioration des conditions de travail, Marie Gérin-Lajoie tente de réformer la société, et lutte en faveur d’un monde plus juste.

Le révérend Charles Este serre la main d’une paroissienne.

Lieu essentiel pour la communauté noire de la Petite-Bourgogne et de Montréal, l’Union United Church est associée à deux figures marquantes, Anne Greenup et le révérend Charles Este.

Quatre femmes souriantes sont assises à des tables dans une classe.

Petites-Mains, entreprise montréalaise d’insertion sociale, vient en aide aux femmes immigrantes en risque d’exclusion sociale. Son succès prouve l’efficacité de sa méthode.

Plus de vingt femmes assises dans une salle de classe.

Depuis le début du XXe siècle, de multiples associations puis organismes communautaires ont joué un rôle crucial pour accompagner les femmes montréalaises dans différents aspects de leur vie.

Jacynthe Ouellette reçoit le prix Thérèse-Daviau dans le hall d’honneur de l’hôtel de ville

Se regrouper pour faire à manger offre de nombreux avantages. Les cuisines collectives permettent à leurs membres de cuisiner ensemble dans le plaisir, tout en faisant des économies.

Femme avec des lunettes, regard contemplatif.

Par l’œuvre d’une vie, la fondatrice de l’association Le Chaînon a secouru des générations de Montréalaises dans le besoin. Sa mission se poursuit, selon les valeurs qu’elle a transmises.

Photo couleur de vingt-deux femmes posant devant une maison de briques rouges de trois étages avec un portique avec des colonnes blanches.

En 1973, le Centre des femmes de Montréal ouvre ses portes pour offrir des services en adéquation avec les demandes des femmes. Depuis 1976, il occupe une maison emblématique de Milton Parc.

Une fillette assise dans un escalier, tête penchée vers l’avant, coudes sur les genoux et mains devant les yeux. Devant elle, une femme est assise plus bas, regard tourné vers l’enfant et main posée sur les genoux de la fillette.

De 1947 à 1967, l’Institut Notre-Dame-de-la-Protection, ancêtre du Chaînon, a servi de foyer à de nombreuses fillettes et jeunes filles. Les Associées prenaient alors le rôle de maman.

Une femme debout tient une porte ouverte pour une femme et un enfant que l’on voit de dos. Sur la gauche, une plaque où est écrit : « Maison d’Accueil ».

Au cours des décennies, dans un environnement sécuritaire et chaleureux, les diverses Maisons d’accueil du Chaînon ont offert des services adaptés à des fillettes et à des femmes de tous âges.

Deux femmes portant un manteau transportent des légumes avec une brouette.

La foi en la Providence a guidé Yvonne Maisonneuve et les Associées dans leur œuvre charitable. La Providence est-elle à l’origine de la profonde solidarité qui anime toujours l’association?