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Angle des rues Forfar et Bridge.

Goose Village est l’un des plus vieux quartiers ouvriers de Montréal. Au 19e siècle, il regroupe les personnes qui travaillent à la construction du pont Victoria. En 1964, le secteur disparaît pour faire place à une partie du site d’Expo 67.

Six jeunes enfants dessinent à la craie sur un tableau dans une classe.

Espace de partage culturel et lieu de rencontres intergénérationnelles, le Centre communautaire catholique chinois est un symbole de stabilité au sein du Quartier chinois.

Photo couleur montrant des travailleurs et des travailleuses dans une usine de fabrication d’aliments chinois.

Fondé en 1948, Aliments Wong Wing est le plus grand fabricant de mets chinois en Amérique du Nord. Sa prospère histoire a toutefois été durement marquée par les expropriations des années 1970.

Photo couleur montrant une dizaine de personnes d’origine chinoise dans une grande salle, certaines sont debout, de dos, devant une table, d’autres assises derrière la table.

Depuis plus d’un siècle, les associations familiales jouent un rôle de gardiennes dans la communauté chinoise. L’Association Hum est l’une des plus anciennes de ce genre à Montréal.

Photo couleur de l’intérieur d’un casse-croûte avec le comptoir et les banquettes orange.

De 1946 à 2000, le restaurant Ho Ho a été un lieu renommé pour les immigrants chinois, qui pouvaient y célébrer leur culture et y tisser des liens avec les membres de la communauté.

Photo couleur de quelques personnes manifestant. Au centre, une femme tient un micro et un homme à ses côté tient un porte-voix. Une personne âgée pleure à l’avant-plan.

Construite après les expulsions des années 1970, la tour résidentielle surnommée « la Plaza chinoise » témoigne des luttes pour le logement qui ont animé le Quartier chinois au début du XXe siècle.

Impressão de ecrã de um clipe: José-Louis mostra uma fotografia tirada de quando era criança, no local onde foi tirada 60 anos depois.

José-Louis Jacome nous entraîne dans les quartiers de la Petite Italie et de Villeray où, enfant immigrant, il a vécu ses premières expériences montréalaises.

José-Louis Jacome en compagnie de Madalena da Costa et José Manuel Pereira

La quête de José-Louis Jacome pour retrouver ses racines raconte bien plus qu’une histoire personnelle, elle témoigne des débuts de l’immigration des Açoriens à Montréal.

Capture d’écran du clip montrant Joaquina et José-Louis assis et discutant

Alors qu’il menait des recherches personnelles sur ses origines, José-Louis Jacome, Montréalais né aux Açores, a fait une rencontre déterminante. Sa quête a ainsi pris une nouvelle envergure.

Fotografia a preto e branco de quatro homens, de pé, em frente a uma árvore. Apenas um tem sapatos.

Les premiers immigrants açoriens sont arrivés à Montréal en 1953 et 1954. Les témoignages de ces pionniers livrent les raisons du départ, les conditions du voyage, les difficultés de l’arrivée.