Les premiers Açoriens ont immigré à Montréal dans les années 1950. Ils évoquent leur premier travail, les difficultés familiales ou administratives, mais aussi la naissance d’une communauté.
Comment vivre les transformations et tensions de l’adolescence entre Révolution tranquille et traditions açoriennes? José-Louis Jacome raconte son intégration à sa nouvelle vie montréalaise.
En 2009, l’association du Petit Maghreb signe une entente avec la mairie d’arrondissement qui permet de rêver à la création d’un premier quartier maghrébin en Amérique du Nord.
Des groupes minoritaires au sein de la société égyptienne émigrent à Montréal dès les années 1950. Au fil des décennies, l’immigration égyptienne dans la métropole se complexifie.
En 2010, la communauté algérienne de Montréal se mobilise pour suivre la Coupe du monde alors que l’Algérie accède à la phase finale de l’événement pour la première fois depuis 1986.
Les premiers immigrants maghrébins s’installent à Montréal dans les années 1950. Quarante ans plus tard, étudiants et demandeurs d’asile du Maghreb y arrivent nombreux.
Peu d’expériences culinaires capturent l’éclectisme et le service effréné du cha chaan teng (茶餐廳, se traduisant par « restaurant à thé »).
Dans la plus ancienne manufacture du Quartier chinois de Montréal toujours active, la famille Lee produit des aliments chinois depuis plus de 75 ans, mais elle a débuté dans le secteur en 1897.
Liée à l’entreprise Wing, à deux édifices patrimoniaux et à la communauté du Quartier chinois, la collection Wings révèle une histoire socioéconomique de Montréal. Mais son avenir est incertain.
La population chinoise immigrante à Montréal a augmenté de façon vertigineuse depuis les deux dernières décennies. En 2016, elle constituait 5,1 % de l’ensemble des immigrants récents.