Pendant et après la Seconde Guerre mondiale, des intellectuels de l’élite polonaise trouvent refuge au Canada et organisent la vie culturelle polonaise à Montréal. Parmi eux, une femme…
Peut-être êtes-vous déjà entré dans la bâtisse de l’Union française, au coin des rues Viger et Berri? Si tel est le cas, vous pouvez témoigner de l’ambiance chargée d’histoire qui y règne.
À partir des années 1950, les séfarades arrivent nombreux à Montréal. Leur venue modifie le visage de la communauté juive montréalaise, jusqu’alors à prédominance ashkénaze et anglophone.
À partir des années 1960, la présence libanaise se diversifie et s’intensifie à Montréal, qui, 40 ans plus tard, compte la plus forte population originaire du Liban au Canada.
Des bateaux pleins à craquer, de longues quarantaines et des milliers de morts : l’arrivée massive des Irlandais à Montréal en 1847 met dans l’ombre une immigration débutée dès le XVIIe siècle.
Au début du XXIe siècle, Montréal est encore une destination secondaire pour les immigrants du sous-continent indien. Pourtant ce flux migratoire s’est accentué à partir des années 1980.
Originaires de pays durement marqués par des régimes autoritaires communistes, les immigrants de l’Asie du Sud-Est apportent à Montréal un lourd bagage.
Depuis le XIXe siècle, les immigrants chinois ont transformé à leur façon le paysage culturel de Montréal.
Fondatrice de la première communauté de femmes missionnaires au Canada, Délia Tétreault a œuvré à Montréal. Mais son action a retenti jusqu’en Asie de l’Est.
Qu’ils soient parmi les fondateurs de la ville ou arrivés au XXIe siècle, les immigrants de l’Ouest et du Sud de l’Europe colorent Montréal de leur présence séculaire.